28 février 2007

Sauve-moi – Guillaume Musso

Histoire féérique que celle de la rencontre de Juliette et Sam. Agrémentée, cela va sans dire, de passion, d’amour et, bien évidemment de suspense. Ces deux là vont tomber amoureux l’espace d’un week-end passionnel. Mais leur explosive rencontre se base sur deux mensonges aussi, à l’heure de la séparation, aucun des deux n’ose prononcer les mots qu’il faut. C’est ainsi que leur histoire bascule dans la plus étrange des aventures, c’est le moins qu’on puisse dire. L’auteur déroule au fil des pages une intrigue qu’il mène avec minutie, révélant l’intérêt des différents personnages au sein d’un scénario teinté de surnaturel. C’est une évidence, le lecteur se retrouve avec l’envie de connaître le dénouement de cette histoire. Mais, avouons-le, aussi sympathique soit-il, ce roman est à réservé aux petits moments détentes où l’on n’a pas trop envie de réfléchir…

Historia mágica que la del encuentro de Juliette y Sam. Adornada, por supuesto, de pasión, amor y, obviamente, de suspenso. Estos dos van enamorarse durante un fin de semana pasional. Pero su explosivo encuentro se basa en dos mentiras y por eso, a la hora de la separación, ningún de los dos no se atreve a pronunciar las palabras necesarias. Así su historia oscila en la más extraña aventura, no es nada decirlo. El autor desarrolla a lo largo de las páginas una intriga que lleva con minucia, revelando el interés de los distintos personajes en una situación teñida de sobrenatural. Es una evidencia, el lector se encuentra con el deso de conocer el desenlace de esta historia. Pero, hay que reconocerlo, tan simpática que sea, se reserva esta novlea a los pequeños momentos de descanso en cuales no se tiene demasiado ganas de reflexionar…


Magic story that the one of the meeting of Juliette and Sam. With, you can imagine it, a lot of passion, love and, obviously, suspense. These two ones will fall in love during a passion weekend. But their explosive meeting is also based on two lies, so at the hour of the separation, none of both dare to pronounce the necessary words. Thus their story falls in the strangest of the adventures, and it’s nothing to say it. The author unrolls with the wire of the pages an intrigue which ha carries out with meticulousness, revealing the interest of the various characters within a scenario tinted of supernatural. It’s logical, the reader wants to know the outcome of this story. But, we have to say it, also sympathetic is it, this novel is reserved to the small relaxation times where nobody wants to think a lot…




27 février 2007

Blogueiro condenado… Blogueur condamné… Blogero condenado… Blogger condemned…


Há histórias que recordam quanto são frágeis as nossas liberdades. A poder exprimir-se por exemplo, exprimir-se livremente entende-se. E a história do Abdel Kareem Nabil Suleiman é de aquelas. Este egípcio de 22 anos teve a “falta” de publicar no seu Blog pensamentos a respeito do Islão e o presidente egípcio Hosni Mubarak. Criticou igualmente muito duramente a sua universidade, de a qual foi expulso o ano passado, que qualifica-o « do universidade do terrorismo”, que acusa-o igualemente de suprimir a liberdade de pensamento. Condenado à 4 anos de prisão para insulto ao Islão bem como Mubarak, o jovem homem, que se declara inocente de todas as acusações, torna-se assim em primeiro blogeuiro a ser julgado e condenado no Egipto. Há julgamentos que fazem medo. Há julgamentos que fazem medo. Há condenações que recordam que toudo resto a adquirir em certos países e que nada nunca não é adquirido noutro lugar. Que por toda parte, à cada minuto, devemos ser vigilantes e defender as nossas liberdades de pensamento e de expressão…


Il est des histoires qui rappellent combien sont fragiles nos libertés. Celle de pouvoir s’exprimer par exemple, s’exprimer librement s’entend. Et l’histoire d’Abdel Kareem Nabil Suleiman est de celles-là. Cet égyptien de 22 ans a eu le « tort » de publier dans son Blog des pensées au sujet de l’Islam et du président égyptien Hosni Moubarak. Il a également critiqué très durement son université, de laquelle il a été expulsé l’an passé, la qualifiant « d’université du terrorisme », l’accusant également de réprimer la liberté de pensée. Condamné à 4 ans de prison pour insulte à l’Islam ainsi qu’à Moubarak, le jeune homme, qui se déclare innocent de toutes ces accusations, devient ainsi le premier blogueur à être jugé et condamné en Egypte. Il est des jugements qui font peur. Il est des condamnations qui rappellent que tout reste à acquérir dans certains pays et que rien n’est jamais acquis ailleurs. Que partout, à chaque minute, nous devons être vigilants et défendre nos libertés de pensée et d’expression…


Hay historias que recuerdan cuánto son frágiles nuestras libertades. La de poder expresarse por ejemplo, expresarse libremente por supuesto. Y la historia de Abdel Kareem Nabil Suleiman es de aquéllas. Este egipcio de 22 años tuvo la « culpa » de publicar en su Blog pensamientos con respecto al Islam y al Presidente egipcio Hosni Moubarak. Criticó también muy duramente su universidad, e la cual lo han expulsado el año pasado, calificándola de « universidad del terrorsimo », acusándola también de reprimir la libertad de pensamiento. Condenado a 4 años de prisión para insulto al Islam así como a Moubarak, el joven hombre, que se declara inocente de todas estas acusaciones, se convierte así en el primer blogero juzgado y condenado en Egipto. Hay jucios que dan miedo. Hay condenas que recuerdan que hay todo que adquirir en unos países y que nada nunca es adquirido en otros. Que por todas partes, a cada minuto, debemos ser vigilantes y defender nuestras libertades de pensamiento y expresión…


There is stories which recall how much our freedoms are fragile. The one to express freely, for example. And the story of Abdel Kareem Nabil Suleiman is one of these. This 22 years old Egyptian had the “wrong idea” to publish in his Blog his thoughts about Islam and Egyptian president, Hosni Mubarak. He also criticized very hardly his university, of which he was expelled the past year, describing it as “university of terrorism”, showing it also to repress the freedom of thought. Condemned to 4 years of prison for insult to Islam like to Mubarak, the young man, who declares himself innocent of all these charges, becomes thus the first blogger to be judged and condemned in Egypt. There are fearing judgements. There are judgements which recall that all is to acquire in some countries and that nothing is never acquired in the others. That everywhere, at each minute, we must be vigilant and defend our freedom of thought and expression…



Sources : O Globo

Reporters sans frontières




25 février 2007

Phone Game – Joel Schumacher

Stu Shepard passes near a public cabin. Phone is ringing. Qtu takes down and his nightmare starts. An unknown voice says to him “if you hang up you’re die”. The luminous point of an infra-red ray on his chest proves him his mysterious interlocutor not lies. Following an incident near the cabin, the police forces arrive and think Stu, and not his interlocutor, is responsible of that. At this point all try to convince Stu to leave the cabin. And, during this time, we spend a pleasant moment looking at this film to the interesting intrigue…

Stu Shepard passe devant une cabine publique. Le téléphone sonne. Stu décroche et c’est alors que son cauchemar commence. Une voix qu’il ne connait pas l’informe que s’il raccroche il est mort. Le point lumineux d’un rayon infrarouge sur son torse l’informe que son mystérieux interlocuteur ne bluffe pas. Suite à un incident à quelques mètres de la cabine, la police arrive et pense que Stu, et non son interlocuteur, en est responsable. C’est alors que tous tentent de convaincre Stu de sortir de la cabine. Et que nous passons un agréable moment devant ce film à l’intrigue fort intéressante…


Stu Shepard pasa delante una cabina pública. El téléfono suena. Stu descuelga y ahí comienza su pesadilla. Una voz desconocida le informa de que si vuelvue a colgar se murió. El punto luminoso de un rayo infrarojo sobre su torso le informa que su misterioso interlocutor no miente. A raíz de un incidente a algunos metros de la cabina, llega la policía que piensa que Stu, y no su interlocutor, es responsable. Entonces todos intentan convencer Stu de salir de la cabina. Y, durante todo esto, pasamos un agradable momento delante esta película a la intriga interesante…





22 février 2007

France morale ou France polémique?… ¿Francia morale o Francia polémica ?... Moral or polemic France ?...


La France sera le premier état à ouvrir un procès contre la junte militaire chilienne. En effet 17 proches du dictateur chilien Augusto Pinochet, décédé en décembre dernier, seront jugés en 2008 par contumace devant la cour d’assises de Paris. Accusés des disparitions et tortures de quatre français sous la dictature chilienne, ils encourent pour ces seuls faits la réclusion criminelle à perpétuité. Si cette annonce est de celles qui font croire en la justice, il en est qui, à l’inverse, inspirent le dégoût. Je fais, vous vous en douterez, référence à l’inhumation de Maurice Papon. Seul français condamné au titre de la déportation de Juifs durant la seconde guerre mondiale, il aura gagné sa dernière bataille et aura été enterré avec sa Légion d’Honneur, distinction qu’il lui était interdit d’arborer depuis sa condamnation. Plus haute décoration honorifique française récompensant les mérites éminents (militaires ou civils) rendus à la Nation, je m’interroge sur les actes qui ont conduits Papon vers une telle récompense et si ces derniers ont bien servis la France. Si la réponse est affirmative, il est important alors de s’interroger sur les idéaux de la France à l’époque. Et aujourd’hui également puisqu’il ne me semble pas qu’un seul de nos gouvernants se soit indigné de la présence de ce symbole lors de son enterrement. La question qui me vient à l’esprit est de savoir pourquoi cette distinction ne lui a pas été tout simplement reprise. De la sorte les choses auraient été claires. Mais il est malheureusement vrai que sans toutes ces ambigüités la France ne serait plus la France


Francia va a ser el primer estado en abrir un pleito contra la junta militar chilena. En efecto se juzgarán en 2008 por contumacia, 17 prójimos del dictador chileno Augusto Pinochet, difunto en diciembre pasado, ante el tribunal penal de París. Acusados de las dsapariciones y torturas de cuatro franceses durante la dictadura chilena, incurren para estos hechos la reclusión criminal a perpetuidad. Si este anuncio es de los que hacen creer en la justicia hay unos, al contrario, que inspiran la aversión. Se dudarán que estoy haciendo referecnia a la inhumación de Maurice Papon. Único frances condenado para la deportación de Judíos durante la segunda Guerra Mundial, habrá ganado su última batalla y lo han enterrado cn su Legión de Honor, distinción que le estaba prohibido enarbolar desde su condena. Más importante decoración honoraria francea recompensando los meritos eminentes (militares o civiles) dados a la Nación, me pregunto sobre los actos que condujeron Papon hacia tal recompensa, y si estos siriveron bien Francia. Si la respuesta es afirmativa, entocnes es importante preguntarse sobre los ideales de Francia en la época. Y también hoy puesto que no me parece que uno de nuestros bobernantes se yaya indignado por la presencia de este símbolo en su entierro. La cuestión que viene a mi mente consiste en saber porqué no se le reanudó simplemente esta distinción. De este modo las cosas habrían quedado claras. Pero es desgraciadamente cierto que sin todas estas ambiguedades, Francia no sería Francia…


France will be the first state to open a lawsuit against the Chilean military junta. Indeed, 17 close relations of the Chilean dictator Augusto Pinochet, deceased last December, will be considered by contumacy in 2008, before a court or Paris. Shown disappearances and tortures of four French during the Chilean dictatorship, they incur for these facts the perpetuity criminal reclusion. If this news makes us believe in justice, to the contrary, others inspire dislike to us. As you will understand it I make a reference to the burial of Maurice Papon. Only him, as French, was condemned for the deportation of Jews during the Second World War, he will have gained his last battle and will have been buried with his Legion of Honor, distinction prohibited to raise since his judgement. Higher French honorary decoration rewarding the eminent merits (military or civil) gave to the Nation, I wonder myself about the acts which led Papon toward such a reward, and if they really served France. If the answer is affirmative, it is then important to wonder about the ideals of France at this time. Also today since it does not seem to me that one of our politician was indignant by the presence of this symbol to those burials. I just wonder why this distinction was not simply quite taken to him. At least, things would have been simple. But it is unfortunately true that without all these ambiguities France would not be any more France



Sources : Canal Z

Romandie News



21 février 2007

Labyrinth… Labyrinthe… El laberinto… - Kate Mosse

Everything begins in the town of Carcassonne in July 1209. Alaïs, 17 years old, receives from her father a manuscript containing the Graal secret. Although she does not understand either symbols or words, she takes aware that her destiny is to assure the protection of this secret and it is with an unwavering faith and with lots of sacrifices that she is going to try to protect it. Some 800 years later, in July 2005, during archaeological excavations, near Carcassonne, Alice Tanner discovers a cave where are lying two skeletons and which rock is engraved by an ancient language of which meaning she seems to know. In fact she has just activated a succession of events which connect her destiny to the one that knew Cathars eight centuries previously. Result of an important historic work, this novel involves legend and suspense while making relive Languedoc, its language, its culture, offering us by there a captivating journey in the time and the space. To read by all the story, Cathars, Police novels lovers or simply by all the curious…

Tout commence dans la cité de Carcassonne en juillet 1209. Alaïs, 17 ans, reçoit de son père un manuscrit recelant le secret du Graal. Bien qu’elle n’en comprenne ni les symboles ni les mots, elle prend conscience que son destin est d’en assurer la protection et c’est avec une foi inébranlable et de grands sacrifices qu’elle va essayer de préserver le secret du labyrinthe, secret issu des sables de l’ancienne Egypte voilà plusieurs milliers d’années. Quelques 800 ans plus tard, en juillet 2005, lors de fouilles archéologiques aux environs de Carcassonne, Alice Tanner découvre une grotte où gisent deux squelettes et dont la roche est gravée d’un langage ancien dont elle semble connaître la signification. Elle vient en fait de déclencher une succession d’évènements qui lient son destin à celui que connurent les Cathares huit siècles auparavant. Fruit d’un important travail historique ce roman mêle légende et suspens tout en faisant revivre le Languedoc, sa langue, sa culture nous offrant par là-même un voyage captivant dans le temps et l’espace. A lire par tous les férus d’histoire, des Cathares, de romans policiers ou tout simplement par tous les curieux…


Todo comienza en la ciudad de Carcasona en julio de 1209. Alaïs, 17 años, recibe de su padre un manuscrito que oculta el secreto del Graal. Aunque no entiende ni los símbolos ni las palabras, toma conciencia que su destino es de garantizar su protección y es con una fe inéquebrantable y grandes sacrificios que va intentar preservar el secreto del laberinto, secreto resultante de las arenas del antiguo Egipto hace varios millares de años. Aproximadamente 800 años más tarde, en julio de 2005, en excavaciones arqueológicas alrededor de Carcasona, Alice Tanner descubre una gruta donde yacendos esqueletos y cuya roca se graba de una lengua antigua que ella parece conocer. En realidad, acaba desencadenar una sucesión de acontecimientos que vinculan su destino al que conocieron ocho siglos antes los Cathares. Resultado de un importante trabajo histórico esta novela mezcla leyenda y suspenso haciendo al mismo tiempo revivir el Languedoc, su lengua, su cultura, ofreciéndonos así un cautivador viaje en el tiempo y el espacio. A leer por todos los a quienes les gustan la historia, los Cathares, las novelas policíacas o simplemente por todos los curiosos…





20 février 2007

Un petit jeu sans conséquence – Bernard Rapp

Tout débute par un jeu pas vraiment méchant. Claire et Bruno, couple établi depuis 12 ans, décident au cours d’une journée avec leurs proches, de faire croire qu’ils se séparent. A leur grande surprise ils se rendent compte que personne ne croit en leur couple. Chacun, famille ou amis, se charge de trouver de bonnes raisons à cette « rupture ». C’est ainsi que Claire va prendre conscience de son insatisfaction. Bruno quant à lui, va réaliser la nécessité d’être plus vigilant à l’avenir. Mais n’est-il pas déjà trop tard? Film sympathique qui met en lumière le rôle que peut avoir le regard des autres sur soi, pour peu que l’on y prête trop d’attention…

Todo comienza por un juego no realmente malévolo. Claire y Bruno forman una pareja desde 12 años y deciden, durante un día pasado con sus prójimos, hacerles créer que se separan. A su gran sorpresa se dan cuenta de que nadie cree en su pareja. Cada uno, familia o amigos, se encarg encotnrar unas buenas razones a esta « ruptura ». Con eso Claire va a tomar conciencia de su descontento. Bruno, por su parte, va a realizar la necesidad de ser más vigilante en el futuro. Pero, ¿ya no es demasiado tarde ? Simpática película que saca a la luz el papel que puede tener la mirada de los demás sobre sí, por poco que se le presta demasiada atención…


All begin with a not really malicious game. Claire et Bruno, established couple for 12 years, have decided during a day with their close relations, to make believe in their separation. To their great surprise, they realize nobody believe in their couple. Each one, family or friends, give some good reasons to this “rupture”. Thus Claire will become aware of her dissatisfaction. Bruno, will realize the need to be more vigilant in the future. But isn’t it yet too late? Sympathetic film which clarifies the role that can have the glance of the others on ourselves if we lend too much attention to it…




19 février 2007

Papon’s death


La radio diffuse la nouvelle : Maurice Papon est mort à l’âge de 96 ans. J’avale l’info, le bourreau n’est plus, ou plutôt l’homme qui alimentait le bourreau n’est plus. Une page de l’Histoire se tourne. Un chiffre me vient en tête : 1.660. Les 1.660 personnes qu’il a envoyé depuis Bordeaux vers le camps de la mort de Drancy. Parmi eux 225 enfants. A-t-il pensé à eux lors de son dernier souffle ? Le regret de son acte s’est-il distillé en lui ? Ou aurait-il préféré « faire mieux » ? Je pense également à la France. La France collabo qui l’autorise à participer à l’épuration. La France de Pétain qui le charge des questions Juives. La France d’après guerre, celle du premier ministre Raymond Barre qui le nomme préfet de police de Paris. Cette France qui le soutient dans ce rôle lors des répressions sanglantes des manifestations pacifiques des 17 octobre 1961 et 8 février 1962. Cette France-là qui l’honore de la Légion d’Honneur! Distinction qu’il n’a, heureusement, plus le droit d’arborer depuis son procès de 1998. Procès où il est condamné (enfin !) à 10 ans de prison pour complicité de crimes contre l’humanité pour des actes commis en tant que fonctionnaire du régime de Vichy. Mais, ultime privilège de cette catégorie de criminels, il n’en purgera que trois pour mauvaise santé! A l’heure de la justice, la société doit se soucier de leur état de santé et en tenir compte dans l’accomplissement de leur peine. Le contraire reviendrait-il à agir comme eux? Question délicate dont la réponse nous ramène à nos idéaux et ce contre quoi beaucoup luttent. Quoi qu’il en soit la nouvelle de sa mort ramène la France à des questions difficiles, celles de la collaboration, de l’Etat d’après guerre qui « oublie », de l’heure tardive – même si c’est mieux que jamais – de la justice. Je ne pleure pas sa mort, loin s’en faut. Je ne m’en réjouis pas non plus. Je pense seulement à ses quelques 2.000 victimes…


La radio difunde la noticia : se murió Maurice Papon a la edad de 96 años. Trago la info, el verdugo ya no es, o más bien el hombre que abastecía al verdugo ya no es. Una página de la Historia se vuelve. Una cifra me viene en cabeza : 1.660. Las 1.660 oersonas quienes envió desde Burdeos (francia) hacia el campo de la muerte de Drancy. Entre ellos 225 niños. ¿Pensó en ellos durante su últimi minuto ? ¿Se destiló en él el pesar de su acto ? ¿O habría preferido « hacer mejor » ? Pienso también a Francia. Francia colaboradora que le autoriza participar en la purificación. La Francia de Pétain que lo encarga de las cuestiones Judías. La Francia de después la gerra, la del Primer Minstro Raymond Barre que lo nombra prefecto de policía de París. Esta Francia que lo sostiene en este papel durante la represiones sangrientes de las manifestaciones pacíficas de los 17 de octubre de 1961 y 8 de febrero de 1962. ¡Esta Francia que le honra con la Legión de Honor ! Distinción que ya no tiene, afortunadamente, el derecho a enarbolar desde su pleito de 1998. Pleito en cual se condena (¡por fin !) a 10 años de prisión para complicidad de crímenes contra la humanidad para actos cometidos como funcionario del régimen de Vichy. Pero, último privilegio de esta categoría de criminales, ¡purgó solamente tres para mala salud ! A la hora de la justicia, la sociedad debe preocupare de su estado de salud y tenerla en cuenta para realización de su pena. ¿Volvería el contrario en actuar como ellos? Cuestión delicada cuya repuesta nos trae a nuestros ideales y a lo en contra de que muchos luchan. En cualquier caso la noticia de su muerte trae Francia a cuestiones dificiles, las de la colaboración, del Estado después guerra que « olivda », de la hora tardía – aunque es mejor que nunca – de la justicia. No lloro su muerte, lejos de eso. Tampoco me alegro. Pienso solamente en sus aproximadamente 2.000 víctimas…


The radio diffuses the news : Maurice Papon died at 96 years old. I swallow the info, torturer is not any more, rather the man who fed the torturer is not any more. A page of History is tuned. A figure comes to my mind : 1.660. The 1.660 persons he sent from Bordeaux (France) to Drancy, death camps. Among them, 225 children. Did he think of them at the time of its last minute? Was the regret of its act distilled in his mind? Or would he prefer “do better” than he did? I also think of France. The collaborationist France, authorizing him to take part to the purification. The France of Pétain which charges him of the Jew questions. Post-war France, the one of the Prime Minister Raymond Barre who appoints him Prefect of police of Paris. This France supporting him in this role during the bloody repressions of peaceful demonstrations of October 17, 1961 and February 8 of 1962. This France which honours him with the Legion of Honor! Distinction that he does not have, fortunately, more right to raise since his lawsuit of 1998. Lawsuit where he is condemned (finally!) at 10 years of prison for complicity of crimes against humanity for acts made as civil servant of the regime of Vichy. But, ultimate privilege of this category of criminals, he will purge only three years for bad health! At the time of justice, the society must be concerned by their health and be careful of this one to the achievement of their sorrow. Would the opposite be to act as they do? Delicate question whose answer bring us back to our ideals, and against what so much fight. In all case the news of its death brings France back to difficult questions, those of collaboration, post-war state which “forgets”, of the late hour – even if its better than ever – justice. I do not cry his death, far of this. I am neither happy of it. I only think of his some 2.000 victims…




Sources : Le Vif l’Express

Reuters España

Washington Post





16 février 2007

Tell no one… Ne le dis à personne… No se lo digas a nadie…- Harlan Coben

David Beck’s wife was killed eight years earlier by a serial killer. And he receives today an anonymous e-mail and, by the magic of a webcam, the face of his wife appears, in real time, in a crowd. Here are the starting ingredients of a novel that you will unable to quit before to have arrived to the last page as suspense is in each word…


La femme de David Beck a été tuée huit ans plus tôt par un serial killer. Et voilà qu’il reçoit un e-mail anonyme et que, par la magie d’une webcam, le visage de sa femme apparaît, en temps réel, au milieu d’une foule. Voilà les ingrédients de départ d’un roman que vous serez incapables de lâcher avant d’être arrivé à la dernière page tant le suspense y est omniprésent…


La mujer de David Beck fue matada ocho años antes por un serial killer. Y David recibe hoy en día un correo electrónico y, por la magia de una webcam, la cara de su mujer aparece, en tiempo real, en medio de una muchedumbre. Esos son los ingredientes iniciales de una novela que, ustedes van a ser incapaz de liberarse antes de haber llegado a la última página tan el suspenso es presente en cada palabra…



14 février 2007

500 signatures… 500 firmas… 500 signatures…


France – Le système démocratique quant à l’élection présidentielle serait-il perverti dans ce pays de libertés ? Il ne suffit en effet pas de se déclarer candidat pour prétendre aux votes des citoyens. Avant cette étape, il faut réunir 500 signatures d’élus, ce geste signifiant que lesdits maires, quelle que soit leur couleur politique et celle des candidats pour lesquels ils signent, trouvent légitime et démocratique que tel candidat soit présent à l’élection présidentielle. A ce stade là, il était déjà légitime de se demander pourquoi les candidats, dans une mesure démocratique, ne pouvaient pas directement se présenter devant les citoyens. Mais voilà qu’à l’heure de ces nouvelles présidentielles, une nouvelle donnée vient s’ajouter au système : contrairement à avant, ces soutiens doivent être publics. Si l’idée peut paraître saine – effectivement dans une démocratie tout le monde doit pouvoir dire qu’il trouve normal de voir untel se présenter à une élection – la perversion politique fait désormais peser un poids énorme sur les épaules des élus. Certains (la majorité ?) voient en effet leur parti faire pression sur eux en les menaçant d’exclusion si leur soutien va à certains candidats de couleur politique différente. Qu’en est-il alors de la démocratie, de la liberté? Cela relève non seulement du chantage mais, en plus, disqualifie tout simplement les candidats des « petits » partis, sans parler des partis dits extrémistes. Et si cela a été fait pour éviter un deuxième 21 avril (où le FN avait accéder au 2e tour des présidentielles), il aurait été plus judicieux de mettre la question de la participation de l’extrême droite à de telles élections sur la place publique et d’en débattre démocratiquement plutôt que d’agir de la sorte. Car, si j’ai été comme beaucoup en colère de voir les scores du FN, il n’en reste pas moins que ces votes étaient une expression populaire et qu’elle s’est faite dans le strict respect de la démocratie contrairement au fameux système des 500 signatures actuelles. Reste à voir maintenant si les maires vont avoir le courage de leurs opinions et oser affronter leur parti afin que triomphe la démocratie…


Francia - ¿Se pervertiría el sistema democrático en cuanto a la elección presidencial en este país de libertades ? En efecto no es ahora suficiente declararse condidato para pretender a los votos de los ciudadanos. Antes de este etapa, es necesario reunirs 500 firmas de alcaldes, este gesto significando que dichos alcaldes, cualquiera que sea su color política y la de los candidatos para los cuales firman, encuentran legítimo y democrático que tal candidato sea presente a la elección presidencial. En esta fase, era ya legítimo preguntarse porque los candidatos, en nombre de la democracia, no podían presentarse directamente delante de los ciudadanos. Pero po restas nuevas presidenciales, una novedad viene añadirse al sistema : estos apoyos deben ser públicos, al contrario de antes. Si la idea puede parecer sana – efectivamente en una democracia todo el mundo debe poder decir que encuentra normal ver a tal candidato presentarse a una elección – la perversión política hace pesar un enorme peso sobre los hombros de los alcaldes. En efecto algunos (¿la mayoría ?), ven su partido ejercer una presión sobre ellos y les amenazan de exclusión si su apoyo va a algunos candidatos de color político diferente. ¿En dónde están entonces la democracia, la libertad ? Eso incluye no solamente el chantaje pero, además, descalifica simplemente a los candidatos de los « pequeños » partidos, sin hablar de los partidos dichos extremistas. Y si eso se hace para evitar un segundo 21 de abril (triste día en cual el FN – extrema derecha – había accedido a la 2a vuelta de las presidenciales), habría sido más juicioso poner la participación de la derecha extrema al público y discutir democráticamente más que de actuar de este modo. Ya que, si he tenido como mucha gente rabia al ver los resuldados del FN, no permanece menos que estos votos eran una expresión popular y que se hizo en estricto cumplimiento de la democracia contrariamente al famoso de las 500 firmas actuales. Queda por ver ahora si los alcaldes van tener el voraje de sus opiniones y atraverse a enfrentar su partido para que triunfe la democracia…


France – Would be, the democratic system as for the presidential election, perverted in this freedom country? It is not enough, indeed, to declare itself candidate to claim the votes of the citizens. For this, it is necessary to join together 500 signatures of mayors, this gesture meaning that aforementioned mayors, whatever their political colour and the one of the candidate for whom they sign, find legitimate and democratic such candidate is present at the presidential election. At this point, it was already legitimate to wonder why candidates, in a democratic measurement, could not directly present themselves in front of the citizens. But at the time of those news presidential elections, a new data was added to the system : contrary to before, those supports must be public. If the idea can appear healthy – indeed in a democracy everyone must be able to say he finds normal see a candidate try to be elected – political perversion makes now weigh an important weight on the shoulders of the mayors. Some of them (the majority?) see their party making pressure on them, threatening them to exclusion, if their support goes to certain candidates with different political colour. What’s about democracy, freedom, then? This not only concern blackmail but, moreover, disqualifies candidates of the “small” parties, without speaking about parties known as extremists. And if that were made to avoid a second April 21 (where FN – extreme right – had reach the 2d turn of presidential), would it have been more judicious to put this question of the participation of the extreme right to such elections on public place, and discuss it democratically rather than to act like that? Because if I were, as a lot of persons, in anger seeing such FN scores, these votes were a popular expression made in the respect of the democracy, contrary to the famous current system of the 500 signatures. Remain to see now if the mayors will have the courage of their opinions and will dare to face their party to let triumph democracy…



Sources : Libération



Carnaval de Cardona – Jaleo Real

Esperando el concierto, se puede descubrir los Jaleitos en su sitio… o bien en la entrevista que realizó hace algun tiempo ya… o bien escuchandolos aquí o allí


En attendant le concert, vous pouvez toujours aller découvrir les Jaleitos sur leur site… ou bien par le biais de l’interview que j’ai réalisé il y a quelques temps… ou les écouter ici ou


Waiting for the concert, you can discover los Jaleitos on their site… or in the interview I made a few time ago… or listening them here or there




13 février 2007

La Turbulence des Fluides… Fluid Turbulence… La Turbulencia de los Fluidos… – Manon Briand

Depuis quelques temps, un étrange phénomène a été observé à Baie-Comeau, village côtier de l’estuaire du Saint-Laurent, au Canada : la marée a disparu. Alice, sismologue native de Baie-Comeau exilée au Japon, est tout naturellement désignée pour enquêter sur cette « disparition ». De retour au Canada et aidée de Catherine, une amie d’enfance, elle va essayer de percer ce mystère qui s’épaissit de jour en jour. Alors que des sentiments qu’elle croyait disparus resurgissent, elle rencontre Marc Vandal, homme séduisant qui porte en lui un drame non élucidé à ce jour. Nombreux et troublants hasards se succèdent dans la petite ville, semblants tous liés par un secret, une force échappant à toute mesure et Alice se voit contrainte peu à peu d’aller à l’encontre de ses convictions scientifiques. La québecquoise Manon Briand signe là un film magnifique, à l’écriture et à l’interprétation parfaites. Il ne vous reste plus, comme je l’ai fait moi-même, qu’à vous laisser envoûter par l’atmosphère sensuelle de ce film…


For some time, a strange phenomenon was observed in Baie-Comeau, coastal village of the St. Lawrence estuary, Canada : tides disappeared. Alice, seismologist native of Baie-Comeau exiled n Japan, is quite naturally designed to inquire about this “disappearance”. Back to Canada and helped by Catherine, a childhood friend, she will try to understand this mystery which thickens day in day. Whereas feelings she believed disappeared re-appear, she meets Marc Vandal, tempting man who carries with him a drama not elucidated to date. Many disconcerting events follow one another in the small city, and all seem bound by a secrecy, a force escaping to any measurement and Alice sees herself forced little by little to go against her scientific convictions. Quebec director Manon Brians signs here a splendid film, to perfect writing and interpretation. You just have now to, as I did myself, leave you charm by the sensual atmosphere of this film…


Desde hace algún tiempo, se observó un fenómeno extraño en Baie-Comeau, pueblo costero del estuario del Saint-Laurent, Canadá : la marea desapareció. Se designa naturalmente a Alice, sismóloga nativa de Baie-Comeau exilidada en Japón, para ivnestifar sobre esta « desaparición ». De vuelta a Canadá y atudada por Catherine, una amiga de infancia, va intentar entender este mistrio que se espesa de día en día. Mientras resurgen sentimientos que creía desaparecidos, encuentra a Marc Vidal, hombre seductor que lle va en él un drama no aclado hasta ahora. Nummerosas e inquietantes casualidades se suceden en la pequeña ciduad, todas pareciendo vinculadas por un secreto, una fuerza escapando a toda medida, y Alice se poco a poco obligada ir contra sus convicciones científicas. Manon Briand firma allí una película espléndida, a la escritura y interpretación perfectas. No tienen ahora, como lo hice yo mismo, que dejarles hechizar por la atmósfera sensual de esta película…



11 février 2007

Sim… Oui… Si… Yes…


É à 59,25% que os portugueses legalizaram o aborto num país onde a influência da igresia continua a ser o mais forte. Com a Irlanda, a Polónia e Malta, Portugal era um dos raros países europeus limitar o direito ao aborto. Apenas autorizado nos casos de violação, deformação do fetus ou se a gravidez ameaçasse a saúde da mãe, a vitória do « sim » legaliza aborto às 10 semanas de gravidez. Este resultado, mesmo se deixa Portugal entre aos países mais conservadores neste domínio, vai evitar cerca 20 à 40.000 abortos clandestinos praticados cada ano, que José Sócrates, primeiro ministro socialista, qualificou de « ferida mais vergonhosa de Portugal ». Se, sempre de acordo com Sócrates, o país passa do sob desenvolvido a moderno por este referendo, é necessário preocupar-se muito da forte taxa de abstenção (60%) que suscita o assunto nos eleitores. Deve-se concluir que os portugueses, as porugueses a que o tema refere-se em primeira linha, não se sentem referidos ? Deve-se concluir que o espectro da perda dos valores avançado pela Igreja católica na sua campanha para « não » é mais influente na sociedade portuguesa que o direito natural para a mulher a decidir para o seu própio corpo? O século XXI será ainda um século no qual certos poderes espirituans decidirão o que é ou não « moral » para a mulher ? Sem feminismo nenhuma, ela única deve no entanto ter o direito de escolher para este corpo que lhe pertence e é à todad sociedade a mobilizar-se de modo que possa ter legalmente este direito…


C’est à 59,25% que les portugais ont légalisé l’avortement dans un pays où l’influence de l’église reste des plus forte. Avec l’Irlande, la Pologne et Malte, le Portugal était l’un des rares pays européens à limiter le droit à l’avortement. Autorisé seulement dans les cas de viol, déformation du fœtus ou si la grossesse menaçait la santé de la mère, la victoire du « oui » légalise l’avortement jusqu’à 10 semaines de grossesse. Ce résultat, même s’il laisse le Portugal parmi les pays les plus conservateurs en ce domaine, va éviter les quelques 20 à 40.000 avortements clandestins pratiqués chaque année, ce que José Socrates, premier ministre socialiste, a qualifié de « blessure la plus honteuse du Portugal ». Si, toujours selon Socrates, le pays passe de « sous-développé » à la « modernité » par ce référendum, il faut quand même s’inquiéter du très fort taux d’abstention (60%) que suscite le sujet chez les électeurs. Doit-on par là en conclure que les portugais, les portugaises que le thème concerne en première ligne, ne se sentent pas concernés ? Doit-on conclure que le spectre de la perte des valeurs avancé par l’Eglise catholique dans sa campagne pour le « non » est plus influent dans la société portugaise que le droit naturel pour la femme à décider pour son propre corps ? Le 21e siècle sera-t-il encore un siècle dans lequel certains pouvoirs spirituels décideront ce qui est ou non « moral » pour la femme ? Sans féminisme aucun, elle seule doit pourtant avoir le droit de choisir pour ce corps qui lui appartient et c’est à la société toute entière à se mobiliser pour qu’elle puisse avoir légalement ce droit…


Es al 59,25% que los portugueses legalizaron el aborto en un país donede la influencia de la iglesia sigue siendo muy fuerte. Con Irlanda, Polonia y Malta, Protgual era uno de los raros países europeos a limitar el derecho de aborto. Autorizado solamente en los casos de violación, deformación del feto o si el embarazo amenazara la salud de la madre, la victoria del « sí » legaliza el aborto hasta a 10 semanas de embarazo. Este resultado, incluso si déjà Portugal entre los países más conservadores en este subjeto, va evitar aproxidamente 20 a 40.000 abortos clandestinos practicados cada año, lo que José Socrates, Primer Ministro socialista, calificó de « herida más avergonzada de Portugal ». Si, continua Sócrates, el país pasa de « subdesarrollado » a la « modernidad » por este referéndum, es necesarion preocuparse de la importante tasa de abstención (60%) que suscita el tema en los electores. ¿Debemos concluir con eso que los portugueses, las portuguesas a quienes el tema se refiere en primero, no se sienten afectados ? ¿Debemos concluir que el espectro de la pérdida de los valores avanzado por la Iglesia Católica en su campaña para el « no » es más influeyente en la sociedad portuguesa que el derecho natural para la mujer a decidir para su propio cuerpo ? ¿Será el siglo XXI aún un siglo en cual algunos poderes espirituales decidirán lo que es o no « moral » par al amujer ? Sin ningún feminismo, solamente la mujer debe tener el derecho a eligir para este cuerpo que le pertenece y es a la sociedad movilizarse para que pueda tener legalmente este derecho…


Portuguese legalized abortion to 59,25% in a country where the influence of Church remains stronger. With Ireland, Poland and Malta, Portugal was one of the rare European countries so limit the right to abortion. Only authorized in cases of rape, deformation of the foetus or if the pregnancy threatened health of the mother, the “yes” victory legalizes the abortion to 10 weeks of pregnancy. This result, even if it leaves Portugal among the most preserving countries in this field, will avoid some 20 to 40.000 clandestine abortions each year, what Socrates, socialist Prime Minister, qualified as “most ashamed wound for Portugal”. If, always according to Socrates, country passes from undeveloped to modern with this referendum, it is nevertheless necessary to worry about the very important rate of abstention the subject causes among voters. Do we have to conclude Portuguese, and women first, are not concerned by the subject? Do we have to conclude that spectrum of the loss of the values, advanced by Catholic Church in the campaign of “no”, is more influent in the Portuguese society than the natural right for women to decide for her own body? Will the 21e century still be a century in which certain spiritual powers will decide what is or not “moral” for women? Without any feminism, only a woman must have the right to choose for her body which belongs to her and it is to the society to be mobilized to help her to have legally this right…




Sources : Visão Online




10 février 2007

Rodrigo y Gabriela

Originarios de México, Rodrigo y Gabriela se encontraron en un grupo heavy metal. Deciden formar un grupo donde sobresalen en el flamenco incluyendo fuertes influencias rock, folk, jazz y metal. Instalados en Dublín, Irlanda, registran prácticamente todos sus álbumes en vivo y el último, salido en marzo de 2006, es una maravilla que os invito a descubrir…


Originaires du Mexique Rodrigo et Gabriela se sont rencontrés dans un groupe de métal. Ils décident de former un duo où ils excellent dans le genre flamenco comprenant de fortes influences rock, folk, jazz et métal. Installés à Dublin en Irlande, ils enregistrent pratiquement tous leurs albums en live et le dernier en date, sorti en mars 2006, est une petite merveille que je vous invite fortement à découvrir…


Originating from Mexico, Rodrigo y Gabriela met in a heavy metal band. They decide to form a duet where they excel in the flamenco style including strong rock, folk, jazz and metal influences. Installed in Dublin, Ireland, they record practically all their albums in live and the latest one, released in March 2006, is really great and I strongly invite you to discover it…


Tamacun – Rodrigo y Gabriela


09 février 2007

Prisonnier politique?... ¿Preso político ?... Political prisoner?...


Je ne vous ferai pas l’offense de vous présenter José Bové, les nom et actions de cet altermondialiste ayant très largement dépassés l’hexagone. Vous n’êtes pas sans ignorer pas non plus qu’il a très récemment officiellement annoncé sa candidature à l’élection présidentielle française. Mais voilà que la cour de cassation gâche cette annonce en confirmant ce mercredi sa condamnation à quatre mois de prison ferme pour avoir arraché des plants de maïs transgéniques en 2004. S’il reste à la justice à se prononcer sur les modalités de sa peine (bracelet électronique, prison la nuit, liberté conditionnelle), le célèbre moustachu n’en démord pas : il fera campagne! Se déclarant condamné pour ses idées et non ses actes, le candidat altermondialiste ne veut d’aucune négociation et pense déjà installer son QG de campagne face au centre pénitencier. Le cas José Bové soulève beaucoup de questions, tant éthiques que démocratiques. La première concerne le motif de sa condamnation : sur les seuls faits, ses idées, l’annonce de sa campagne électorale ? Lui-même n’a-t-il pas fait son annonce un temps qui aurait pu lui permettre d’éviter une condamnation ou plus précisément : a-t-il essayé d’influencer la justice ? Cette dernière peut-elle peser sur une campagne et une élection ? Enfin, même si cette condamnation ne lui retire en rien ses droits civiques, que penser d’un candidat qui purge une peine de prison lors de la campagne électorale. Bien sûr d’aucuns vont me parler de Chirac qui est justiciable, et ce depuis avant ses mandats. Mais la grande différence, est que l’un est condamné alors que l’autre est encore présumé innocent (et n’allez pas croire par là que j’en défends un au détriment de l’autre !). Alors oui je m’interroge, et cela sans tenir compte de la politique défendue par la personne concernée : un candidat à une quelconque élection, condamné sur des actes que la loi réprouve, doit-il prétendre aux votes des citoyens?...


No les haré la ofensa de presentarles a José Bové, el nombre y las acciones de este hombre que lucha en el movimiento antiglobalización superando muchissimo Francia. No están tampoco sin ignorar que muy recientemente anunció oficialmente su candidatura a la elección presidencial francesa. Pero este anuncio se entristece con la decisión del tribunal supremo que confirmó este miércoles su condena a cuatro meses de prisión firme para haber arrancado plantas de maíz transgénicas en 2004. Si queda a la justicia por pronunciarse sobre las modalidades de su pena (pulsera electrónica, prisión la noche, libertad condicional), el famoso hombre con bigote lo afirma : ¡hará campaña ! Declarándose condenado para sus ideas y no sus actos, el candidato del movimiento antiglobalización no quiere ninguna negociación y piensa ya en instalar su QG de campaña ante el penitenciaría. El caso José Bové plantea muchas cuestiones, tanto éticas como democráticas. La primera se refiere al motivo de su condena : ¿sobre los únicos hechos, sus ideas, el anuncio de su campaña electoral ? No hizo él mismo su anuncio en tiempo para poder permitirle evitar una condena o más concretamente : ¿intentó influir sobre la justicia ? ¿Puede este última tener un peso sobre una campaña y una elección ? Por último, aunque esta condena no le retira ningúno de sus derechos cívicos, que pensar de un candidato que purga una pena de prisión en la campaña electoral. Por supuesto unos van hablarme de Chirac que queda justicialbe, y esto antes de sus mandatos. Pero la gran diferencia es que se condena uno mientras el otro se supone aún inocente (¡y no van a créer que defiendo uno y no el otro !). Entonces síme pregunto, y eso sin tener en cuenta la política defendida por las personas interesadas : ¿ debe pretender, un candidato a cualquier elección, condenado sobre actos rechazados por la ley, a los votos de los ciudadanos?...


I will not make you offence presenting him to you, the name and actions of this alter-globalization activist having largely exceeded France. You are not without being unaware of its very recently announce which officialise its candidature for the French presidential elections. But here the supreme court wastes this announce by confirming this Wednesday its judgement in four months of firm prison to have torn off transgenic corn seedlings in 2004. If it remains to justice to come to a conclusion about methods of its sorrow (electronic bracelet, prison at night, parole), man with a moustache affirm it : he will make the campaign! Declaring himself condemned for its ideas and not its acts, the alter-globalization candidate don’t wants some negotiations and already think of installing its campaign HQ in front of the penitentiary center. José Bové case raises many questions, as well ethical as democratic. The first relates the reason of its judgement : about the facts, its ideas, the announce of its election campaign? Did he not himself make its announce in a time in which this could have enabled him to avoid a judgement, or more precisely : did he try to influence justice? Can this latter have an influence on a campaign and an election? Lastly, even if this judgement does not withdraw its civic rights, what think about a candidate who purges a prison sentence during an election campaign. Of course some people will speak to me about Chirac who would have to go before the justice, and this since before his mandates. But the difference is that one is condemned whereas the other is still supposed innocent (and don’t believe by there that I defend one and not the other!). So yes, I question myself, and this is for all the politicians of every party : does a candidate to an unspecified election, condemned on acts rejected by the law, have to claim the citizen votes?...



Sources : Le Petit Journal



08 février 2007

Hard Candy – David Slade

Harley, nice 14 years old teenager, and Jeff, attractive thirty year photograph, met on Internet. She is the one who suggests going to his home to be quieter, she who wants he takes photos, she who used them to drink and starts to take off her clothes. But it’s Jeff who awakes bound. She has some questions and examines closely his home. She knows she is not the first teenager to come and wants to know what it is occurred with Donna Mauer. Internet also learned her how to use a lancet and she is decided to put in practice its knowledge in this psychological film very very interesting…



Harley, belle adolescente de 14 ans, et Jeff, séduisant photographe trentenaire, se sont rencontrés sur Internet. C’est elle qui suggère d’aller chez lui pour être plus tranquille, elle qui veut qu’il prenne des photos, elle qui leur sert à boire et commence à retirer ses vêtements. Mais c’est Jeff qui se réveille ligoté. Elle a des questions à lui poser et fouille tout chez lui. Elle sait qu’elle n’est pas la première adolescente à venir chez lui et veut savoir ce qu’il est advenu de Donna Mauer. Internet lui a également appris à se servir d’un bistouri et elle est bien décidée à mettre en pratique ses connaissances dans ce film psychologique très très intéressant…



Harley, guapa adolescente de 14 años, y Jeff, bonito fotógrafo treintañal, se encontraron en Internet. Es ella quien sugiere ir en su casa para estar más tranquilos, ella quien quiere que tome fotos, ella quien les sirve bebida y comienza a retirar sus vestidos. Pero es Jeff quien despierta atado. Ella tiene preguntas y registra todo en su casa. Sabe que no es la preimera adolescente en venir en su casa y quiere saber que ocurre con Donna Mauer. Internet le enseño también en servirese de un bisturí y está decidida en llevar a la práctica sus conocimientos en esta película psicológica muy muy interesante…




07 février 2007

Droits de l’Homme et disparitions forcées… Derechos humanos y desapariciones forzadas… Human rights and forced disappearances…


Cristina Fernández de Kirchner n’est pas venue à Paris en touriste mais à l’occasion de la signature, mardi 6 février, de la Convention internationale pour la protection de toutes les personnes contre les disparitions forcées, texte adopté par l’ONU le 20 décembre 2006 et pour lequel l’Argentine et la France se sont fortement mobilisés depuis la fin des années 1970. Ce traité est le premier à interdire, en toute circonstance, la pratique des disparitions forcées, c’est-à-dire l’enlèvement de personnes et leur détention dans des lieux secrets, trop souvent accompagnée de tortures, et cela quels qu’en soient leurs auteurs (agents d’un Etat par sa police, son armée ou tout groupe non étatique comme les milices ou guérillas). Ratifiée par vingt états, cette convention fait reconnaître de nouveaux droits, en particulier le droit des victimes ou de leurs proches à connaître la vérité sur les circonstances des disparitions forcées ainsi que leur droit à la protection et à la réparation. Les familles de victimes bénéficient en outre de longs délais pour se porter devant la justice puisque la disparition forcée est, par ce texte, qualifiée de crime continu, la prescription ne commençant donc à courir qu’à partir du moment où le crime a été élucidé. Cette convention contraint également les Etats parties à traduire en justice un responsable présumé de disparition forcée s’il se trouve sur son territoire, ou alors de l’extrader, ou encore de le remettre à une juridiction internationale. A souligner l’importance que le texte accorde au donneur d’ordre puisqu’il l’empêche de se soustraire à la justice sous prétexte que ce n’est pas lui qui a commis directement le crime. De plus, la convention stipule l’annulation des adoptions issues de disparitions forcées et créée le Comité des disparitions forcées, composé de 10 membres, pour une durée de 4 ans, qui aura pour charge l’examen de rapports des Etats ainsi qu’une fonction préventive. Texte capital s’il en est, reste maintenant à le faire appliquer ce qui ne va pas forcément être le plus simple, une dictature, des milices ou guérillas appliquant très rarement une convention relevant de la protection des droits de l’Homme…


Cristina Fernández Kirchner no vino a París como simple turista sino con motivo de la firma, marte 6 de febrero, del Convenio internacional para la protección de todas las personas contra las desapariciones forzadas, texto adoptado por la ONU el 20 de diciembre de 2006, y para cual Argentina y Francia se movilizaron mucho desde el final de los años setenta. Este Tratado es el primero en prohibir, en toda circunstancia, la práctica de las desapariciones forzadas, es decir el secuestro de personas y su detención en lugares secretos, acompañada muchas veces de torturas, y eso cualquiera que sean sus autores (agentes de un Estado por su policia, su ejército o todo grupo no oficial como las milicias o guerillas). Ratificado por veinte Estados, este convenio hace reconocer nuevos derechos, en particular el derecho de las víctimas o de sus prójimos en conocer la verdad sobre las circunstancias de las desapariciones forzadas así como su derecho a la protección y a la reparación. Por otro lado, las familias de víctimas benefician de largos plazos para llevarse ante la justicia puesto que este texto califica la desaparición forzada de crimen continuo, la condición comenzando a correr solamente a partir del momento en que el crimen se acló. Este convenio obliga también los Estados partes a traducir en juicio a un responsable presunto de desaparición forzada si se encuentra en su territorio, o bien de obtener la extradición, o también volverlo a poner a una jurisdicción internacional. A destacar la importancia que el texto concede al contratista puesto que le impide retirarse a la justicia con el pretexto de que no es él que cometió directamente el crimen. Además, el convenio estipula la anulación de las adpciones de desapariciones forzadas y crea el Comité de las desapariciones forzadas, compuesto de 10 miembros, por un período de 4 años, que tendrá por carga el examen de informes de los Estados así como una función preventiva. Texto capital queda ahora hacerlo aplicar lo que no va a ser el más simple, una dictadura, milicias o querrillas aplicando raramente un convenionque hace aplicar a los derechos humanos…


Cristina Fernández de Kirchner did not come to Paris as tourist but for the signature, Tuesday February 6, of the International Convention for the protection of all the people against forced disappearances, text adopted by UNO on December 20, 2006 and for which Argentina and France are highly mobilized since the end of the seventies. This treaty is the first to prohibit, in any circumstance, the practice of forced disappearances, i.e. the removal of people and their detention in secret places, often accompanied by tortures, and that, whatever their authors (State agents as police, army or any nonofficial group as militia or guerrillas). Ratified by twenty states, this convention recognizes new rights, in particular the right of the victims of their close relations to know the truth on the circumstances of the disappearances forced as their right to protection and repair. Families of the victims profit moreover of long times to go in front of justice since forced disappearance is, by this text, qualified as continuous crime, the regulation thus starting to run only from the moment when the crime was elucidated. This convention also constrained States members to translate into justice a person in charge supposed for forced disappearance if this one is on its territory, or then to extradite it, or to give it to an international jurisdiction. To note the importance attached by the text to the commander since it prevents him from being withdraw form justice under pretext is not committed directly the crime. Moreover, convention stipulates the cancellation of the adoption resulting from forced disappearances and also created the Committee of forced disappearances, composed of 10 members, for 4 years, which will examine States’ reports and have a preventive function. Capital text, remains now to make it apply what inevitably will not be simplest, a dictatorship, militia or guerrillas not applying a convention about human rights…



Sources : Le Monde



06 février 2007

El anillo La herencia del ultimo templario… Le rubis des templiers… - Jorge Molist


En su veintisiete aniversario, Cristina, una abogada neoyorquina bastante engreída y snob, recibe dos anillos : el primero de su novio y el otro, misterioso anillo antiguo, proviene de un remitente anónimo. Ella acepta ambos sin saber que el segundo, dotado con extraños poderes, va hundirla en el mundo oculto de los templarios, sobre los rastros de un fabuloso tesoro. En presa a terribles pesadillas que parecen directamente vinculadas a la historia de los portadores del anillo, Cristina, ayudada de su amor de juventud, inicia en Barcelona un recorrido por la costa mediterránea, retornando a su pasado. Y no solo el suyo, sino a otro mucho más lejano : el trágico destino del ultimo de los templarios. En esta novela Jorge Molist nos narra desde el presente la dramática caída de los templarios. A pesar de su similitud con otra muy famosa por el mundo, les aconsejo a todos esta novela …

Lors de son vingt-septième anniversaire, Cristina, avocate new yorkaise quelque peu prétentieuse et snob, reçoit deux anneaux : le premier de son fiancé et l’autre, mystérieux anneau moyenâgeux, provient d’un expéditeur anonyme. Elle les accepte tous les deux sans savoir que le deuxième, doté d’étranges pouvoirs, va la plonger dans le monde occulte des Templiers, sur les traces d’un fabuleux trésor. En proie à de terribles migraines qui paraissent directement liées à l’histoire des porteurs de l’anneau, Cristina, aidée par son amour de jeunesse, commence à Barcelone un parcours qui va la mener le long de la côte méditerranéenne, retournant son passé. Et non seulement le sien, mais un autre bien plus lointain : celui, tragique, du dernier des templiers. Dans ce roman Jorge Molist nous raconte depuis le présent la dramatique chute des templiers. Et malgré la similitude avec un autre ouvrage mondialement connu, je vous conseille à tous la lecture de ce roman…


For its twenty-seventh birthday, Cristina, pretentious and snob lawyer from New York, receive two rings : the first from her boyfriend, and the other, mysterious ancient ring, come from an anonymous shipper. She accepts both of them without knowing that the second, which have strange powers, will plunge her in the occult world of the Templiers, on the traces of a fabulous treasure. In prey to terrible migraines which seem directly related to the history of the carriers of the ring, Cristina, helped by her love of youth, begins in Barcelona a course which will carry out her along the Mediterranean coast, turning over its past? And not only its own past, but another more distant : the tragic one of the last of the Templiers. In this novel Jorge Molist tell us since the present the dramatic fall of the Templiers. In spite of the similarity with another work universally known, I advise you the reading of this good novel…


05 février 2007

Ségo y la América Latina… Ségo et l’Amérique Latine… Ségo and the Latin America…


La candidata presidencial por el Partido Socialista (PS) francés, Ségolène Royal, parece tener mucho interés por los países latinoamericanos. Es, al menos, lo que demuestra la entrevista entre Ségo y la Primera Dama argentina, o sea la senadora Cristina Fernández de Kirchner, entrevista realizada esta mañana en París. Ambas mujeres arbodaron el tema de la recuperación argentina así como de las mejoras de los indicadores de desocupación, la reducción y la suba de la recaudación y las exportaciones. A ver, si Ségo logra ser presidente de la República, si podrá, a su próxima reunión, hablar de tantas mejoras, aunque la situación francesa es muy diferente a la de Argentina. La senadora comentó también a Royal los avances logrados en materia de derechos humanos para esclarecer los delitos y crímenes cometidos durante la última dictadura militar. Al fin y al cabo, Cristina Fernández de Kirchner calificó esta reunión de « fantástica », Ségolène Royal declarando que « era la hora de las mujeres », la Senadora añadiando « es el siglo de la mujeres ». ¡Ojalá sea mejor que los pasados !...


La candidate à la présidentielle du Parti Socialiste (PS) français, Ségolène Royal, paraît avoir beaucoup d’intérêt pour les pays d’Amérique Latine. C’est du moins ce que démontre l’entrevue entre Ségo et la Première Dame argentine, la sénatrice Cristina Fernández de Kirchner, entrevue qui s’est déroulée ce matin à Paris. Les deux femmes ont abordé le sujet du redressement économique de l’Argentine ainsi que des améliorations des indicateurs du chômage, la réduction et la hausse des impôts et des exportations. A voir maintenant, si Ségo arrive à se faire élire présidente de la république, si elle pourra, lors de leur prochaine réunion, parler de tant d’améliorations, bien que la situation français soit complètement différente à celle de l’Argentine. La sénatrice a également commenté à Royal les avancées atteintes en matière de droits de l’Homme afin d’éclaircir les délits et crimes commis durant la dernière dictature militaire. Pour finir, Cristina Fernández de Kirchner a qualifié cette réunion de « fantastique », Ségolène Royal déclarant que « c’était l’heure des femmes », la sénatrice rajoutant « c’est le siècle des femmes ». Espérons qu’il soit meilleur que les précédents !...


The candidate of the French Social Party (PS) to the presidential, Ségolène Royal, appears to have a lot of interest for Latin America countries. At least it is what shows the interview between Ségo and the first Argentinean Lady, the Senator Cristina Fernández de Krichner, interview which proceeded this morning in Paris. Both women talked about the economic recovery of Argentina as well as improvements of the unemployment indicators, reduction and rise of the taxes and exports. To see now, if Ségo is elected president of the republic, if she can, at their next meeting, speech about so much improvements, although the French situation is completely different to the Argentinean one. Senator also commented to Royal progresses made in regard of Human rights in order to clear up offences and crimes committed during the last military dictatorship. To conclude, Cristina Fernández de Kirchner qualified this meeting of “fantastic”, Ségolène Royal saying that “it was the women hour”, Senator adding “it is the women century”. Let us hope this one will be better than precedent ones!...


Sources : Infobae.com




04 février 2007

Clandestina 2.0


L’aventure a débuté là-bas mais elle devient chaotique. Suite à de nombreux contretemps résultant de 20six, je la continue donc par ici. En espérant retrouver les fidèles et d’autres encore…


La aventura comenzó ahí pero se vuelve caótica. A raíz de numerosos contratiempos debidos a 20six, la sigo pues por aquí. Esperando encontrar nuevamente a los fíeles y otros aún…


The adventure began there but becomes chaotic. Following many hitches resulting from 20six, I thus continue it here. Just hoping find fans and other ones…



 
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