26 juin 2009

Interview de TitePerle, artiste, France


A l’heure d’internet le bouche à oreille marche cependant encore à la perfection. C’est effectivement ainsi que j’ai entendu parler d’une boutique de bijoux qui ne manquerait pas de me plaire. Bingo! Dés ma première visite j’ai adoré les créations de la maîtresse des lieux et entre coups de cœur, achats et visites j’ai tenu à vous la faire découvrir à mon tour. Qui d’autre que l’artiste en personne pouvait nous expliquer son art? Certainement pas moi et c’est avec grand plaisir que je vous laisse découvrir cette interview d’une artiste passionnée plus connue sous le nom de TitePerle.


Clandestina - Tout d’abord Françoise, pourquoi le nom de «Tite Perle Creations » ?

TitePerle - ahhh c'est une histoire ! Lorsque j'étais enceinte de ma troisième fille (sur 4...), je me suis inscrite sur un forum pour discuter avec des mamans de la France entière, au hasard j'avais le pseudo "moipetiteperle". De fil en aiguilles, personne ne m'appelait plus Françoise, mais Perle, ou Perlette. Lorsque j'ai commencé à créer, ce nom familier m'est resté et s'est transformé en Tite Perle.



Clandestina - Maintenant que les présentations sont faites, parlez-nous de «Tite Perle Créations» .

TitePerle - J'ai un BTS de secrétariat de direction, je suis née à Grenoble. J'ai travaillé longtemps dans une maison des jeunes et de la culture de la région grenobloise. J'ai donc pu assister à de nombreux ateliers : peinture, modelage, tournage, arts plastiques, modèles vivants... Le monde de la création s'ouvrait donc à moi et en 2000 j'ai demandé un congé individuel de formation. Après 1 an de formation à la céramique et aux techniques d'animation, mon employeur a changé mon statut et je suis devenue animatrice terre, bijoux, arts plastiques, décor sur verre pour les adultes, les jeunes et les enfants.

En 2006, avec mon conjoint et nos filles (qui ont entre 22 ans et 3 ans..), nous nous sommes installés en Limousin, par choix, pour changer de vie, d'horizon. Nous avons craqué pour des granges à Moissannes (87), nous les avons achetées, et depuis septembre 2007 nous vivons donc à 3km de Saint Leonard de Noblat (87).

Il n'était pas question d'ouvrir une boutique, mais de créer un atelier à Moissannes avec des chambres d'hôtes à thème. Mais, devant les difficultés administratives liées à la sécurtié, j'ai renoncé à aménager nos granges en atelier. J'ai alors eu l'idée subite de louer un local pour faire mon atelier et j'ai eu la chance de rencontrer une sympathique Miauletouse qui avait un magnifique local vide et entièrement restauré. La décision a été vite prise ! L'idée à jaillit fin décembre 208 pendant le marché de Noël de Limoges, et ma boutique a ouvert le 27 janvier... je voudrais remercier mon conjoint pour toute son aide et sa patience..



Clandestina - Vous fabriquez artisanalement vos bijoux et décorations, ce qui en fait des pièces uniques. Quels matériaux entrent dans leur composition?

TitePerle - Je décore du verre avec une peinture à base d'eau, que je cuis à basse température, tout est donc lavable, je travaille au feeling, et surtout la couleur. Le motif découle de la couleur, je ne fais que de l'abstrait, et très peu de figuratif, sauf sur commande.

Quant aux bijoux, j'ai commencé à en créer pour me reposer de la peinture... après des débuts très timides (j'ai toujours utilisé des matériaux comme les tesselles de verre pour la mosaïque et les enroulements de métal), à Noël 2007, mes bijoux ont été pris d'assaut. Depuis c'est devenu une activité à part entière, je fais autant de bijoux que de décor. Bagues, colliers, bracelets, boucles d'oreilles sont composées de fil l'aluminium décliné dans toutes les couleurs, de verre, de bois, de graines, d'argent, de corne, d'os... selon mes envies et mes humeurs du jour. J'utilise des matériaux de qualité pour éviter toute allergie.

Je crée aussi des bijoux en argent pur, selon la méthode Art Clay Silver, ainsi que du fusing (lampe, bijoux ) qui consiste à découper du verre, à l'assembler dans le four et à le faire fusionner à 800 degrés.



Clandestina – Mais concrètement quel processus appliquez-vous à la fabrication de chaque œuvre?

TitePerle - Comme je le disais précédemment je travaille au feeling, je ne calcule rien, mon but étant de trouver les meilleures harmonies de couleur et d'arabesques tant pour les bijoux que pour le décor. Je suis curieuse de nature, je cherche, je tâtonne, je n'arrête jamais pour trouver toujours des idées nouvelles, et pour proposer à mes clients le plus de choix possible. Toutes les pièces sont uniques et sortent de mon imagination. Je suis entrain de créer une ligne de bijoux éphémères pour des occasions spéciales (mariages, anniversaires) à base de fleurs fraiches (en partenariat avec une fleuriste de St Leonard).



Clandestina - Vous proposez des stages. A qui sont-ils destinés, et surtout où et comment se déroulent ils ?

TitePerle - Les ateliers sont ouverts à tous, enfants, jeunes, adultes. Création de bijoux (une heure à peu près), décor sur verre, mosaïque de verre, fusing (2h). Bijoux en argent pur (3h). Ce qui m'intéresse c'est de faire partager ma passion qui parait "facile", mais qui finalement demande une certaine dextérité et une longue expérience et de nombreuses expériences ratées (lol). Il suffit de me téléphoner pour prendre rendez-vous.



Clandestina - J'imagine que ces derniers sont payants..

TitePerle - Oui les ateliers sont payants, il faut bien que je mange...



Clandestina - Mis à part la boutique, où peut- on se procurer vos créations ?

TitePerle - Sur certains marchés artisanaux ( Meymac au mois d'aout pour les 3 jours de l'artisanat d'art, j'ai eu le premier prix de la création l'an dernier, marché de Noël de Limoges, salon de la déco et de l'habitat à Limoges..exposition à partir de ce week-end à Marsac en Creuse); sur mes sites internet.


Clandestina - Pourquoi ce choix de ville (St Léonard de Noblat, 87, France) qui est relativement petite ?

TitePerle - Petite ! mais si jolie ! c'est une ville touristique et elle est à 3km de chez moi, ce qui est bien pratique pour que j'aille chercher mes filles à l'école !


Clandestina - Parlons à présent de votre parcours artistique.

TitePerle - Je suis une autodidacte, j'ai avancé seule, en stages, en formation. Je peins des grands tableaux, mais j'ai de moins en moins le temps de le faire... bijoux obligent… je suis sensible au coup de coeur et à la couleur. Il faut que ce que je crée me parle et me touche.


Clandestina - Exposez-vous vos œuvres ou est-ce un projet ?

TitePerle - Pour l'instant pas de projets de ce côté-là...


Clandestina - Puisque nous abordons ce sujet, quels sont les futurs projets concernant Tite Perle Créations ?

TitePerle - Ma boutique est ouverte depuis peu, pour l'instant le but est de me faire connaitre, de constituer un réel stock pour ne pas me trouver démunie toutes les semaines (au secours ça part trop vite lol), j'ai la chance d'avoir une jeune stagiaire pour 8 semaines, en iut techniques de commercialisations (merci ma Lucie) qui m'a fait mes flyers, mes cartes de visite, qui remet à jour mes sites, qui me fait ma charte graphique et qui me cherche des partenaires. A la fin de l'année je pourrais faire un premier bilan et envisager de pousser les murs... à suivre. Et si nous avons un peu de sous, nous mettrons en route le projet chambres et tables d'hôtes à Moissannes, qui seront tenus par mon conjoint.... mais que nous réserve l'avenir ?


Clandestina - Un dernier mot pour conclure cette interview ?

TitePerle - Je fais un métier que j'ai choisi et que j'aime. ça n'a pas été facile tous les jours, que nous vivons avec un seul salaire, vendre mes créations ne me permet pas encore de me payer... ne serait ce qu'un peu. Mais je jubile dans cette boutique qui me ressemble. Je m'amuse (sauf pour la compta... que je fais aussi seule), je bidouille, je trifouille, je m'investis.

J'essaye aussi d'accueillir quelque soit mon humeur, mes clients avec le sourire et des mots gentils.

Et merci pour cette interview et votre gentillesse !!!




Merci TitePerle !!! et à tous les lecteurs n’hésitez pas à découvrir ses différentes créations à ces différentes adresses :



Boutique – Tite Perle Créations


2 rue de la Fraternité

87400 Saint Léonard de Noblat


(33 / 0) 5.55.37.30.43

(33 / 0) 6.19.32.35.96


TitePerle sur 42stores

TitePerle sur CanalBlog




Interview réalisée par Clandestina



25 juin 2009

Sarkoland – Gérald Dahan

Le dernier spectacle de l’imposteur public n°1, Sarkoland, disponible en DVD, a indéniablement été écrit au vitriol. L’imitateur nous transpose dans le parc d’attraction qu’est devenue la France après 5 ans de politique showbiz. Les Français y vivent dans un monde soit disant « meilleur » : tous propriétaires, plus de patrons voyous, une TVA sociale etc… Fort de ces différents manèges à sensations fortes ce show, écrit par Gérald Dahan et mis en scène par Marc Jolivet, fait parler de lui non seulement de par sa qualité mais aussi par l’interdiction qui s’en est ensuivi. En avril dernier l’Autorité de régulation professionnelle de la publicité (ARPP) interdisait la diffusion du spot publicitaire car ce dernier montrait une caricature de Nicolas Sarkozy, signée Cabu, figurant sur la jaquette. Or un décret de 1992 « interdit à toute publicité de heurter les convictions philosophiques, politiques et religieuses du téléspectateur » - notez au passage que ce décret s’il était appliqué pourrait être la solution pour nous débarrasser des pubs car elles sont légions à entre dans les catégories mentionnées - et donc on ne peut pas montrer M. Sarkozy dans une publicité. Gageons plutôt que le président n’ayant pu censurer ce DVD aura usé de ce stratagème pour limiter sa diffusion. Il a cependant visiblement oublié que c’est là le meilleur moyen de faire parler d’une œuvre! Quoi qu’il en soit je vous conseille vivement de visiter le Sarkoland de cette humoriste qui s’élève ici au niveau des humoristes a couilles tels les Le Luron et autre Coluche...



Se escribió el último espectáculo del impostor público n°1, Sarkoland, disponible en DVD, innegablemente al vitriolo. El imitador nos transpone en el parque de atracciones en cual se convirtió Francia después de 5 años de política showbiz. Los franceses viven allí en un mundo que se dice « mejor » : todos proprietarios, no más director robadores, un IVA social etc… Fuerte de estas distintas norias sensaciones se habla de este show, escrito por Gérald Dahan y puesto en escena por Marc Jolivet, no sólo por su calidad sino también por la prohibición que se sigó. En abril pasado la Autoridad de reglamento profesional de la publicidad (ARPP) prohibía la difusisión del anuncio porque este mostraba una caricatura de Nicolas Sarkozy, firamda Cabu, ffigurante sobre la chaqueta. Eso porque un decreto de 1992 « prohibe a toda publicidad chocar las convicciones filosóficas, políticas y religiosas del telespectador » - hay que notar que si se aplicaba este decreto de verdad sería no tendríamos tantas publicidades ya que muchas entran en las categorías mencionadas – y en consecuencia no se peude mostrar al Sr. Sarkozy en una publicidad. Garanticemos que el Presidente no podía censurar este DVD y habrá usado de este estrategema para limitar su difusión. Olvidó solamente que es ¡el mejor medio para hacer hablar de una obra! En cualquier caso os aconsejo vivamente visitar el Sarkoland de este humorista que se eleva aquí al nivel de los que tienen cojones tales Le Luron y otro Coluche…




The last spectacle of the public impostor n°1, Sarkoland, available in DVD, was unquestionably written with vitriol. The imitator transposes us in the amusement park wich became France after 5 years of policy showbiz. French people live there in a world said “better” : all owners, no more hooligans chief executive officers, a social VAT etc… Strong of these various horse-gears with strong feelings, this show written by Gerald Dahan and directed by Marc Jolivet, made speak not only thanks to its quality but also by the prohibition which followed its released. Last April the Professional Regulatory agency of Publicity (ARPP) prohibited the diffusion of the commercial spot because this last showed a caricature of Nicolas Sarkozy, signed Cabu, reproduced on the jacket. This because a decree of 1992 “prohibits to any publicity to run up against the philosophical, political and religious of the spectator” – you have to note that the real application of this decree could be eradicates a lot of spot because they are legions included in the categories mentioned – and thus one cannot show Mr. Sarkozy in a publicity. Let us guarantee than the president who has not been able to cendure this DVD will have used of this stratagem to limit its diffusion. He however obviously forgot that this is the best means to speak about a work! Whatever I highly advie you to visit the Sarkoland of this humorist who rises here on the level of those who have the courage to make their job as the Le Luron and others Coluche…




Site Officiel | Gérald Dahan







24 juin 2009

3G Speeeed

Par pure curiosité je suis allée faire un tour du côté du site de mon opérateur téléphonique qui proposait à partir d’aujourd’hui le tout nouvel iPhone : le 3Gs, c’est-à-dire speed. Et là pour du speed c’est du speed! Quelques heures en effet à peine après le lancement de ce nouveau téléphone (dont le prix oscille entre 149 et 500 euros) l’opérateur est déjà en rupture de stock – vérification faite le second opérateur chez qui l’iPhone était disponible le même jour se trouve dans le même cas de figure. Qui a dit que nous traversions une période de crise ?...



Me fui a visitar por curiosisad el sitio de mi operador telefónico que proponía a partir de hoy el nuevo iPhone : el 3Gs, es decir speed. Y allí ¡claro que se trata de speed ! En efecto algunas horas apenas después de la salida de este nuevo teléfono (cuyo precio oscila entre 149 y 500 euros en Francia) el operador ya está en ruptura de stock – después una verificación el segundo operador proponiendo el nuevo iPhone hoy esta en el mismo caso. ¿Quién ha dicho que estabiamos en un período de crisis ?...



I visited today by pure curiosity the site of my telephone operator who proposed starting from today the new iPhone : the 3G s, i.e. speed. And this is what we call speed! Indeed a few hours after the launching of this new phone (whose price oscillates between 149 and 500 euros in France) the operator is already in stock shortage – after verification the second operator who proposed the new iPhone today is in the same case. Who said we cross a crisis period?...




17 juin 2009

Work for Free


British Airways decided to fight the crisis and to avoid the crash asking staff to work a month for free, without any pay. Even the president will work in July without its 900.000 monthly euros. Well of course he can live a month without this pay considering the amount! Obviously I will not talk about the social retreat this idea implies and ask myself about the employees accepting this deal. But, the thing I have on my mind is to know if the shareholders will not touch the benefit during a defined time…



British Airways a décidé de combattre la crise et d’éviter le crash en proposant à ses employés de travailler un mois à l’œil, sans toucher leur salaire donc. Le président de la société montre lui-même l’exemple en se passant de ses 900 .000 euros mensuels au mois de juillet. Bon me direz-vous il peut s’en passe un mois vu le montant! Bien évidemment je ne mettrai pas avant le recul social que cela implique et m’interroge sur les salariés qui accepteront ce deal. Mais, la question qui me turlupine est de savoir si les actionnaires, eux, se passeront des bénéfices dudit mois…



British Airways decidió combatir la crisis y evitar el cierre de la sociedad proponiendo a sus empleados trabajar un mes sin tener su salario. El Presidente de la sociedad el mismo muestra el ejemplo puesto que en julio no tendrá sus 900.000 euros mensuales. Claro que visto el importe no tenemos duda que ¡podrá vivir un mes sin! Obviamente no pondré en primer argumento el retroceso social que eso implica y me pregunto mucho sobre los asalariados que van a aceptar este idea. Pero, la cuestión que me obseda, es saber si los accionistas, ellos, van a aceptar no tener los beneficios de dicho mes…




Sources : The Guardian

Libération




16 juin 2009

The Constant Gardener – Fernando Meirelles

In a moved back area of the north of Kenya, Tessa Quayle, brilliant lawyer as militant as impassioned, is found wildly assassinated. The African doctor who accompanied her is missing and all of the theories turn to passionate crime. Moreover all the members of the British Office of the High Commission imagine that their discrete and modest colleague Justin Quayle, Tessa husband, will not seek to know the truth but it is not know him to think that. Inspired by the novel of John Le Carré, the Brazilian director Fernando Meirelles – author of the excellent Cidade de Deus – firms here a great film in which he tells us the story, inspired by actual facts, of a pharmaceutical firm which tested on Kenyans a drug against tuberculosis. Drug which it knew mortal because not finalized yet. This tragedy that Meirelles tells us perfectly in a film which revolt – in particular in certain remarks on these “no important murders”, sadden, nauseates, but it should absolutely to be seen. Just because it is obvious that for certain pharmaceutical firms these practices, these cobayes exist and that, for those supposed to save lives, all lives do not have the same price…



Numa região recuada do norte do Quénia, Tessa Quayle, brilhante avocate também militante que apasionada, é reencontrada assassinada. O médico africano que acompanhava-o é levado defunto e todas as teorias voltam-se para o crime passional. De resto todos os membros do Elevado comissariado britânico imaginam que seu discreto e modesto colega Justin Quayle, o cônjuge do Tessa, não procurará conhecer a verdade mas é lá conhecê-lo mal. Inspirado pela novela de John Le Carré, o director brasileiro Fernando Meirelles – autor do excelente Cidade de Deus – assina aqui um filme que perturba no qual conta-nos a história, tirado de factos reais, de uma firma farmacêutica qeu testou sobre Quenianos medicamento contra a tuberculose. Medicamento que sabia mortal dado que não ainda finalizado. Esta tragédia que Meirelles transcreve novamente perfeitamente num filme que revolta – nomeadamente em certos propósitos sobre estes « assassinatos sem importâncias », attriste, torna pacente, mas é necessário vê-lo absolutamente. Seria apenas porque é evidente que para certas firmas farmacêuticas estas prácticas, estas cobaias existem e que, para os que são suposto salvar vidas, toudas não tem o mesmo preço…



Dans une région reculée du nord du Kenya, Tessa Quayle, brillante avocate aussi militante que passionnée, est retrouvée sauvagement assassinée. Le médecin africain qui l’accompagnait est porté disparu et toutes les théories se tournent vers le crime passionnel. D’ailleurs tous les membres du Haut commissariat britannique imaginent que leur discret et modeste collègue Justin Quayle, l’époux de Tessa, ne cherchera pas à connaître la vérité mais c’est là bien mal le connaître. Inspiré par le roman de John Le Carré, le réalisateur brésilien Fernando Meirelles – auteur de l’excellent Cidade de Deus – signe ici un film bouleversant dans lequel il nous raconte l’histoire, tirée de faits réels d’une firme pharmaceutique qui a testé sur des Kenyans un médicament contre la tuberculose. Médicament qu’elle savait mortel puisque pas encore finalisé. Cette tragédie que Meirelles retranscrit parfaitement dans un film qui révolte – notamment dans certains propos sur ces « meurtres sans importances» , attriste, écoeure, mais il faut absolument le voir. Ne serait-ce que parce qu’il est évident que pour certaines firmes pharmaceutiques ces pratiques, ces cobayes existent et que, pour ceux qui sont censés sauver des vies, toutes n’ont pas le même prix…



En una región remota del norte de Kenia, se encuentra salvajamente asesinada a Tessa Quayle, brillante abogada tan militante que apasionada. El médico africano que la acompañaba desapareció y todas las teorías afirman que se trata de un crimen pasional. De hecho todos los miembros de la Alta comisaría británica se imaginan que su discreto y modesto colega Justin Quayle, el esposo de Tessa, no pretendará conocer la verdad pero es allí mal conocerlos. Inspirado por la novela de John Le Carré, el realizador brasileño Fernando Meirelles – autor del excelente Cidade de Deus – firma aquí una película muy emocionante en la cual nos cuenta la historia, extraída de hecho reales, de una empresa farmacéutica que probó sobre el pueblo de Kenia medicamentos contra la tuberculosis. Medicamentos que sabía mortal puesto que aún no estaba a su punto final. Esta tragedia que Meirelles refleja perfectamente en una película que rebela – en particular en algunas observaciones sobres estos « asesinatos sin importancias », entristece, repugna pero es necesario verla. Sería solamente porque queda claro que apra algunas empresas farmacéuticas estas prácticas, estos cobayas existen y que, para los que son supuestos salvar vidas, no todas tienen el mismo precio…








15 juin 2009

Geo Quizz



Azeroth Quizz



Voici un jeu qui ravira les amateurs de WoW et de géo. Le principe est simple : retrouver en une minute le maximum de régions d’Azeroth. Si vous n’y connaissez rien en ce domaine mais adorez les quizz géographiques vous pourrez vous lancez dans les divers autres quizz des continents terrestres cette fois. Peut être aurez-vous la surprise, comme moi, de constater qu’Azeroth, contrairement à notre planète, n’a plus de secret pour vous. Et ok, je vous l’accorde, c’est le moment de revenir sur terre !...



Here is a game which will enjoy all the WoW and geographic fans. The principle is simple : find in one minute the maximum of areas in Azeroth. If you don’t know anything in this matter but if you enjoy geograohical quiz you then will be able to try the others quiz of the terrestrial continents this time. Perhaps you will have the surprise, as I have, to note that Azertoh, contrary to our planet, does not have any more secret for you. And ok, at this point, it is the moment to come back on earth!...



Ahí tenemos a un juego que va a gustar a los aficionados de WoW y de geografía. El principioes simple : encotnrar en un minuto el máximo de regiones de Azertoh. Si no entiendes nada en este tema tienes la posibilidad de intentar los varios quizz geográficos de los diferentes continentes terrestres est avez. Quiza tendrán la sorpresa, como la he tenido, darse cuenta que Azeroth, contrariamente a nuestro planeta, no teiene más secretos para ustedes. Y ok, hay que decirlo, ¡es el momento de volver en la tierra !...




02 juin 2009

Le Dernier Secret de Richelieu – Jean d’Aillon

En 1669, un mystérieux prisonnier est conduit à la forteresse de Pignerol où se trouve déjà, condamné à vie, le surintendant des finances Fouquet. Le prince de Condé s’intéresse beaucoup aux prisonniers du Fort et il est loin d’être le seul : le marquis de Louvois, Colbert, l’inquiétant Dauger de Cavoye et même le capitaine Charles de Baatz – alias d’Artagnan – s’attardent dans la région. Pourquoi ceux qui semblent préoccupés par le sort de notre mystérieux captif disparaissent-ils les uns après les autres ? Serait-ce dû au fait qu’au même moment le jeune roi se transforme en monarque absolu ? Dans un climat de conspiration et au milieu de rebondissements qui se succèdent à un rythme effréné, Jean d’Aillon nous fait vivre les aventures du jeune notaire Louis Fronsac qui nous amèneront à découvrir enfin la vérité sur la célèbre énigme du Masque de Fer. Petite critique cependant pour ce roman résidant en l’attachement trop insistant de l’auteur, dans les premières pages, à nous détailler la généalogie de chacun des personnages ne serait-ce que cité une fois dans le récit. Mais cette faiblesse est bien vite oubliée grâce à la richesse de l’histoire en elle-même ainsi qu’en d’infimes détails sur la vie quotidienne à cette époque ainsi qu’à l’origine de certains noms de lieux célèbres que mon insatiable curiosité a apprécié à sa juste valeur…



En 1669 se conduce a un misterioso preso a la fortaleza de Pignerol en donde ya se encuentra, condenado a vida, el superintendente de las finanzas Fouquet. El príncipe de Condé se interesa mucho a los presos y parece que mucha otra gente se interesa en ellos :el marqués de Louvois, Colbert, el inquietante Dauger de Cavoye e incluso el capitán Charles de Baatz – alias Dartagnan – estan en la región. ¿Porqué desaparecen todos los que parecen preocupados por la suerte de nuestro misterioso cautivo? ¿Se debería al hecho que al mismo momento el joven rey de Francia se transforma en monarco absoluto ? En un clima de conspiración y en medio de repercusiones que se suceden a un ritmo desenfrenado, Jean d’Aillon nos hace vivir las aventuras del joven notario Louis Fronsac que lo llevarán a descubrir por fín la verdad sobre al famoso hombre de la Máscara de Hierro. Solamente una crítica para esta novela que reside en la obsesión del autor, en las primeras páginas, a enumerarnos la genealogía de cada uno de los personajes mismo si les cita una sol avez en el relato. Pero se olvida rápidamente a esta debilidad gracias a la riqueza de la historia en sí mismo así como en indignificantes detalles sobre la vida diaria en esta época y en el origen de algunos nombres de lugares famosos que mi insaciables curiosidad apreció mucho…



In 1669 a mysterious prisoner is led to the fortress of Pignerol where is already, condemned to life, the superintendant of finances Fouquet. The prince of Condé is interested in the prisoners of the fort as well as a lot of people : the marquis of Louvois, Colbert, the worrying Dauger de Cavoye and even the captain Charles de Baatz – alias d’Artagnan – are present in the area. Why those which seem interested by the fate of our mysterious prisoner disappear the ones after the others? Would this be due to the fact that at the same time the young French king transforms himself into an absolute monarch? In a climate of conspiracy an with a lot of surprises, Jean d’Aillon make us live the adventures of the young notary Louis Fronsac who will lead us to finally discover the truth on the famous enigma of the Man in the Iron Mask. Just a critic however for this novel residing in the too insistent attachment of the author, in the beginning, to detail us the genealogy of each character even those quoted just one time in the book. But this weakness is quickly forgotten thanks to the richness of the story as well in negligible details on the daily life at this time like at the origin of certain famous place names that my insatiable curiosity appreciated a lot…



Jean d’Aillon sur CanalBlog



 
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