20 novembre 2007

Graforpögn… La femme en vert… Silence of the grave… - Arnaldur Indridason

Je ne connaissais absolument pas cet auteur islandais mais quelque chose m’a poussé vers ce livre. Disons le d’entrée de jeu : je ne regrette pas le moins du monde mon choix ! Ce roman ne vous lâche ni la main ni l’âme. Il est accessoire de dire qu’il s’agit d’un polar tant il représente avant tout un tissage d’histoire d’enfants en souffrance. Enfants non désirés, enfants perdus, enfants battus, enfants qui n’ont pas grandi, ils représentent l’essentiel du roman dont le sujet majeur est la mémoire, ce passé forcément tourmenté qui s’amuse à ressurgir quand on ne l’attend plus. Tout commence avec un bébé qui se fait les dents sur un os humain. Un squelette est bientôt exhumé et un certain commissaire Erlendur se replonge dans une histoire vieille de 50 ans. L’auteur entraîne ainsi ses lecteurs sur les traces d’une famille au lendemain de la seconde guerre mondiale qui vit sous la férule d’un tyran domestique. Erlendur fouille dans les horreurs familiales alors qu’en écho à ce drame sa fille est précipitée dans une course autodestructrice. Le commissaire se débat au milieu de vieux démons et endosse ainsi la double identité de père et d’enfant. En quête de l’identité de ce corps retrouvé il veut restituer une mémoire à son pays, à l’histoire et aux gens et, par-dessus tout, il veut se restituer une mémoire. Voilà le lecteur piégé dans le temps et les mémoires entre violences physiques et tortures mentales. Explorateur des angles morts de l’humanité, Arnaldur Indridason toque doucement à la porte de nos consciences. L’auteur devient grâce à ce roman un auteur à ne surtout pas manquer!...


I did not know this Icelandic author before, but something pushed me towards this book. Let us say it now : I do not regret my choice! This novel do not give way neither the hand nor the soul. It is additional to say that its acts of a thriller so much it represents before all the story of children in suffering. Non desired children, lost children, beaten children, children who did not grow, they represent the essence of the novel whose major subject is the memory, this inevitably tormented past which re-appear when it is not more awaited. All starts with a baby who makes his teeth on a human bone. A skeleton is soon exhumed and a certain Erlendur, police chief, comes back 50 years ago on an old story. The author thus involves his readers on the traces of a family at the following day of the second world war, family which lives under the influence of a domestic tyrant. Erlendur searches in the family horrors whereas in echo with this drama his daughter is precipitated in a self-destroying race. The police chief struggles in the medium of old demons and thus takes the double identity of father and child. In search of the identity of this found body he wants to restore a memory to his country, to the history and people and, over all, he wants to restore his own memory. Here the reader is trapped in time and memories between physical violence and mental tortures. Explorer of the dead angles of the humanity, Arnaldur Indridason knocks to the door of our conscience. Thanks to this novel the author becomes an author to not miss!...


No conocía a este autor islandés pero algo me empujó haia este libro. Hay que decirlo ahora mismo : ¡no me arrepiento de esta elección! Esta novela no les liberó ni la mano ni el alma. Es accesorio decir que se trata de un polar tanto él representa sobre todo un tejido de historia de niños en sufrimiento. Niños no deseados, niños perdidos, niños pegados, niños que no crecieron, representan la parte fundamental de la novela cuyo tema principal es la memoria, este pasado inevitablemente atormentado que se divierte surgir de nuevo cuando no se lo espera ya. Todo comienza con un bebé que se hace los dientes sobre un hueso humano. Pronto se exuma un esqueleto y un determinado comisario Erlendur vuelve a sumergirse en una historia vieja de 50 años. El autor implica así sus lectores sobre los rastros de una familia que vive bajo la férula de un tirano doméstico inmediatamente después de la segunda guerra mundial. Erlendur busca en los horrores familiares mientras que en eco a este drama su hija se precipita en un curso autodestructor. El comisario lucha en medio de viejos demonios y asume asíla doble identidad de padre y niño. En búsqueda de la identidad de este cuerpo encontrado, quiero devolver una memoria a su país, a la historia y a la gente y, sobre todo, quiere devolverse una memoria a si mismo. Y el lector es atrapado en el tiempo y las memorias entre violencias físicas y torturas mentales. Explorador de los ángulos muertos de la humanidad, Arnaldur Indridason, toca suavemente a la puerta de nuestras conciencias. ¡Gracias a esta novela no se puede faltar a este autor !...




19 novembre 2007

Intihuana en concert

Collectif d’artistes basé en France, Intihuana est un cocktail reggae aux douces senteurs latines. Du soleil plein les guitares, de l’humanité plein les rythmes, un groove et des voix qui appellent au voyage, voilà ce qu’est le groupe. Ce collectif vous attend samedi 24 novembre prochain à L’Estrade, Argein (France – 09), en guest à la soirée organisée par l’association Displugged avec, entre autres artistes présents également sur scène, Advocated Apocalypse, Arclite et Crashlanding…


Colectivo de artistas basado en Francia, Intihuana es un cóctel reggae con suaves olores latinos. Guitarras llenas de sol, ritmos llenos de humanidad, groove y voces que llaman al viaje, eso es el grupo. Este colectivo les espera el próximo sábado 24 de noviembre al Estrade, Argein (Francia – 09), en guest al concerto organizado por la asociación Displugged con, entre otras artistas presentes en la escena, Advocated Apocalypse, Arclite y también Crashlanding…


Collective of artists based in France, Intihuana is a reggae cocktail with Latin sound. Guitars full of sun, rythm full of humanity, groove and voices which call to trip, here what is the group. This collective awaits you next Saturday 24 November to L’Estrade, Argein (France – 09), in guest to the concert organized by the association Displugged with the presence on scene of Advocated Apocalypse, Arclite and Crashlanding…


Site Officiel l L’Estrade

Intihuana l Site Officiel

Intihuana l MySpace



02 novembre 2007

Tabou… Tabú… Taboo…

France – Il y a des sujets sensibles à éviter. La journaliste américaine Lesley Stahl l’a récemment appris à ses dépens lors d’une interview avec le président français, Nicolas Sarkozy. Alors qu’elle l’interrogeait sur son récent divorce, elle a vu ce dernier, sans doute encore sous le choc, se lever et la planter sans autre forme de procès. Divorce qui a dû lui coûter cher si l’on en croit la récente décision présidentielle annoncée dans la semaine d’augmenter de 140% le salaire du chef de l’état. Bon d’accord je m’avance un peu sur les raisons véritables puisque officiellement il s’agit d’aligner le salaire du président de la république à celui du premier ministre, à savoir dans le cas présent 19.000 euros par mois. Enfin lorsque je parle de salaire du chef de l’état, comprenez argent de poche, puisque ses diverses dépenses sont prises en charge par l’état. Qu’à cela ne tienne, beaucoup de voix entendues ici et là s’accordent à dire que tout ceci est normal et que les salaires attribués à ces deux hautes fonctions doivent être égaux. Qu’ils aient un salaire égal, soit, mais pourquoi ne pas avoir revu à la baisse celui du premier ministre ? Il est assez étrange de constater que personne ne semble avoir penser à cette solution. Surtout en ces temps où le même Sarko veut réformer certains systèmes de retraite qu’il juge trop privilégiés, de façon à ce que tous les français soient égaux quant au système de retraite. Mais alors une question me vient à l’esprit : dans le même ordre d’idée que celui appliqué dans le cas du salaire présidentiel, pourquoi ne pas relever le système de retraite de chaque français au niveau du système dit privilégié? C’est vrai ça Nico, pourquoi ?...


Francia – Hay temas sensibles que evitar. La periodista americana Lesley Stahl lo aprendió recientemente en una entrevista con el Presidente francés Nicolas Sarkozy. Mientras lo preguntaba sobre su reciente divorcio, vio este último, seguramente aún emocionado por eso, levantarse y dejarla sin otra forma. Divorcio que debió costalre mucho si se cree la reciente decisión presidencial anunciada este semana de aumentar de unos 140% el salario del jefe del estado. Bueno, de acuerdo, me avanzo un poco sobre las razones verdaderas puesto que oficialmenet se trata de alinear el salario del Preisdente de la República al del Primer Ministro, es decir en el caso presente 19.000 euros al mes. Incluyen cuando hablo de salario del jefe de estado, dinero de bolsillo, puesto que el estado paga sus diferentes gastos. De todo eso, muchas voces oídas aquí y allí se conceden a decir que todo esto es normal y que los salarios asignados a estas dos altas funciones deben ser iguales. Que tengan un salario igual, de acuerdo, pero ¿porqué no haber revisado a la bajo lo del Primer Ministro ? Es bastante extraño darse cuenta que nadie parece haber pensado a esta solución. Sobre todo en este tiempo en cual el mismo Sarko quiere reformar algunos sistemas de jubilación que juzga demasiada privilegiado, de modo que todos los franceses sean iguales en cuanto al sistema de jubilación. Pero entonces una cuestión me viene al mente : en el mismo orden de idea que el aplicado en el caso del salario presidencial, ¿porqué no subir el sistema de jubilación de cada francés al sistema dicho privilegiado ? Eso es verdad, Nico, ¿porqué ?...


France – There are significant subjects to avoid. The American journalist Lesley Stahl learned it recently during an interview with the French president Nicolas Sarkozy. Whereas she questioned him on his recent divorce, she saw this last, undoubtedly still under the emotion, to get up and leave her without any form of explication. Divorce which had to cost him a lot if one believe the recent presidential decision announced this week, to increase of 140% the wages of the President. Well I advance myself a lot speaking of this reason since the official one is to align the wage of the President and the one of the Prime Minister, namely in this case 19.000 euros per month. In reality, when I speak about wage of the president, you have to understand pocket money, since his various expenditures are dealt by the state. About this, a lot of voices heard this week, agree to say that all this is normal and that the wages allotted to these two high positions must be equal. I am agree with the fact they have the same wage, but why not have re-examined the one of the Prime Minister and fall it? It is rather strange to note that nobody seems to have think in this solution. Especially in these times when the same Sarko wants to reform certain retirement systems he judges too privileged, to make all French equals about retirement system. But then a question comes to my mind : in the same order of idea as the one applied in the case of the presidential wages, why not raise retirement system of each French on the level of the system says privileged? It is true, Nico, why?...


Sources : 24 Heures

Libération

 
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