07 décembre 2007

La derrota… La défaite… The defeat…


Venezuela – Es muy conocido, no se obtiene nada si no se tenta nada. Es cuando ha querido aplicar este proverbio que Hugo Chávez, ahora famoso presidente venezolano, sufrió el pasado domingo un revés histórico. Muy fuerte de su renombre junto a los otros gobiernos de su continente – no olvidan que influyó mucho la elección de unos presidentes de la región – y de su reputación anti-Bush, Chávez intentó, por referéndum, cambiar la constitución de su país. Su proyecto implicaba entre otras cosas una reforma dobre el número de mandatos posibles par aun presidente. Y deseaba llevar est cifra … al infinito. O sea quería hacer posible la presentación de un Presidente saliente a una elecció, a tantas de veces que este último le deseaba. Para resumir, esperaba así poder hacerse eligir por vida. Era sin tener en cuenta las distintas manifestaciones que se elevaban a través del país en contra esta reforma constitucional las semanas precedentes el referéndum. Y lo que debía ocurrir llegó. Los venezolanos dijeron no al 50,7%, significando asía su presidente, que reconoce su derrota, que se le conviene perfectamente la constitución actual y que no desean tenerlo a la cabeza del país ad vitam eternma.
Bien intentado Hugo pero, lo habrá aprendido por experiencia propia, no es necesario tentar el diablo...


Venezuela – C’est bien connu, qui ne tente rien n’a rien. C’est en voulant suivre cet adage qu’Hugo Chávez, lé désormais célèbre président vénézuélien, a subi dimanche dernier un revers historique. Fort de sa popularité auprès des autres gouvernements de son continent – n’oublions pas qu’il a fortement influencé l’élection de certains présidents de la région – et de sa réputation anti-Bush, Chávez a tenté, par référendum, de changer la constitution de son pays. Son projet comportait entre autre une réforme sur le nombre de mandats possibles pour un président. Et il désirait porter ce chiffre à … l’infini. Entendez par là qu’il voulait rendre possible la présentation d’un président sortant à une élection présidentielle à autant de fois que ce dernier le souhaitait. Pour résumer, il espérait ainsi pouvoir se faire élire à vie. C’était sans tenir compte des diverses manifestations s’élevant à travers le pays contre cette réforme constitutionnelle les semaines précédents le référendum. Et ce qui devait arriva. Les vénézuéliens ont dit non à 50,7%, signifiant ainsi à leur président, qui a par ailleurs reconnu sa défaite, que la constitution actuelle leur convient parfaitement et qu’ils ne désirent pas l’avoir à la tête du pays ad vitam eternam. Bien tenté Hugo mais, tu l’auras appris à tes dépens, il ne faut jamais tenter le diable…


Venezuela – It is well known, who does not try anything does no have anything. It by following this proverb that Hugo Chávez, now famous president of Venezuela, underwent last Sunday an historical reverse. Strong of his popularity near the other governments of its continent – let us not forget he strongly influenced the election of certain presidents of the area – and of his anti-Bush reputation, Chávez tried, by referendum, to change the constitution of his country. Between other things, he projected a reform on the number of mandates possible for a same president. And he wished to carry out this figure to… the infinite one. Understand by there he wanted to make possible the presentation of an outgoing president to a presidential election as many time as this last wished it. To summarize, he thus hoped to be able to be elected to life. It was forgetting the various demonstrations through the coutry against this constitutional reform the weeks before the referendum. And whad had to arrive, arrived. People said no to 50,7%, thus meaning to their president, who recognized his defeat, that the current constitution is perfectly appropriate and they do not wish to have him at the head of the country ad vitam eternam. Well tried Hugo but, you learned it by yourself, one never should tent the devil…



Sources : Pueblo en línea



4 commentaires:

Anonyme a dit…

Moi je trouve que ce genre de manoeuvre décrédibilise absolument tout ce qu'il fait, il faut être totalement FOU pour vouloir et oser un coup pareil.
(50,7% c'est vraiment pas terrible, limite c'est effrayant et révélateur de l'état de ce peuple) Enfin je dis ça j'y connais pas gd chose...

Clandestina a dit…

Petit Ours ----> je pense qu'il était beaucoup trop sûr de lui. Pourtant beaucoupd e signes pouvaient, auraient dû, le rendre plus prudent.

Anonyme a dit…

Hogo sait pas y faire, il aurait du demander des conseils à Monsieur Poutine...

Clandestina a dit…

Alea ---> ou à Kadhafi ...

 
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