14 mai 2007

Je vais bien, ne t’en fais pas – Philippe Lioret

L’histoire commence par un retour de vacances, celui de Lili, 19 ans. Après un mois passée à Barcelone, son destin bascule lorsque ses parents lui apprennent que Loïc, son frère jumeau, a quitté le domicile familial après une violente dispute avec son père. Ce n’est pas la première fois, aussi Lili ne s’inquiète-t-elle pas outre mesure. Sauf que cette fois-ci Loïc ne répond pas au téléphone, ne donne pas de nouvelles. Sauf que cette fois-ci l’absence s’éternise. Débord révoltée par l’indolence de ses parents, en particulier par l’indifférence de son père qu’elle juge responsable de la fugue de son frère, elle tombe bientôt dans un abattement qui la conduit à se laisser mourir. C’est une carte postale de son frère qui va la ramener à la vie. Tout semble résolu mais l’absence est toujours omniprésente et si la vie semble continuer comme si rien ne s’était passé pour les autres, Lili laisse son existence perdre son sens. Sa seule raison de vivre est de retrouver son frère. Philippe Lioret signe là un film sur l’indicible, le non-dit de familles qui ne se comprennent pas, ont oublié de se parler et de vivre, ne savent plus comment s’aimer, de familles qu’il sépare pour sublimer le geste d’amour absolu final. Adapté du roman d’Olivier Adam, ce film bouscule les apparences jusqu’à vous hanter. Il est de ceux dont l’intensité vous laisse un souvenir brûlant que le temps ne fait que renforcer. Il est de ceux qui porte le non-dit à son paroxysme mais dont il est nécessaire de dire l’incandescence…


La historia comienza por una vuelta de vacaciones, la de Lili, 19 años. Después de un mes pasado en Barcelona, su destino oscila cuando sus padres se le enteran de que Loïs, su hermano gemelo, dejó el domicilio familiar des pués de un violento conflicto con su padre. No es la primera vez, por eso Lili no se preocupa mucho. Pero est avez Loïc no contesta al teléfono, no da noticias. Est avez la ausencia se perpetué. Primero rebelada por la indolencia de sus apdres, en particular por la indiferencia de su padre quien juzga responsable de la fuga de su hermano, cae pronto en una disminución que la cnduce a dejarse morir. Es una tarjeta postal de su hermano que va traerla de nuevo a la vida. Todo parece solucionado pero la ausencia es siempre omnipresente y si la vida parece seguir como si no había pasado nada para los otros, Lili déjà su existencia perder su sentido. Su única razón de vivir consiste en eencontrar a su hermano. Philippe Lioret firma allí una película sobre el inefable, el no dicho de familias que no se comprenden, han olvidado hablarse y vivir, no saben como amarse, de familias que separa para sublimar el gesto de amor absoluto final. Adaptado de la novela de Olivier Adam, esta película trastor,a las apariciones hasta atormentarles. Es de los cuya intensidad les déjà un recuerdo extremo que el tiempo no hace más que reforzar. Es de las que lleva el no diho a su paroxismo pero del cual es necesario decir la incandescencia…


The story starts with a return of holidays, the one of Lili, 19 years old. After a month in Barcelona, her destiny changes when her parents teach her that Loïc, her twin brother, left the family residence after a violent argument with his father. It is not the first time, so Lili does not worry. Except this time Loïc does not answer to her calls, does not give any news. Except this time the absence lasts for ever. First revolted by the indolence of her parents, in particular by the indifference of her father she considers responsible of the running of her brother, she falls soon into an abatement which leads her to let herself die. It is a postcard from her borther who will brings her back to life. All seems resolved but the absence is always omnipresent, and if life seems continue as if nothing had occurred for the others, Lili lets its existence lose its direction. The only reason for her to live is to find her brother. Philipep Lioret signs there a film about the inexpressible, the non-said of families who do not understand themselves, who forgot to speak and to live, do not know how to love, families he separates to sublimate the final absolute love gesture. Adapted of a novel of Olivier Adam, this film hustles the appearances until haunt you. It is one of those whose intensity leaves you an extreme memory that time just reinforce. It is one of those which carries the non-said to its paroxysm but of which it is necessary to say the incandescence…








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