Día Internacional del Detenido Desaparecido 2011
José Henante, joven mapuche de 16 años, desapareció después de ser detenido por la policía en la población Mirasol de Puerto Montt, Chile, el 3 de septiembre de 2005. Desde entonces, igual que en muchos casos como ese, se desconoce su destino. En 1983, por iniciativa de
José Henante, jeune Mapuche de 16 ans, a disparu après avoir été arrêté par la police à Mirasol de Puerto Montt, Chili, le 3 septembre 2005. Depuis, comme dans beaucoup d’autres cas, personne ne sait ce qui lui est arrivé. C’est en 1983, à l’initiative de la Fédération Latino-Américaine d’Associations de Familles de Détenus-Disparus (FEDEFAM) qu’a été choisi le 30 août comme Journée Internationale des Détenus-Disparus afin d’honorer les victimes de détention extrajudiciaires et disparitions forcées qu’a connu l’Amérique Latine sous divers régimes dictatoriaux, conséquence de l’Opération Condor, et afin d’alerte sur les nouveaux cas des régimes de transition en Amérique Latine aussi bien que dans le monde. Ce jour, 30 août, représente un apport supplémentaire renforçant la conscience mondial sur la persistance de la pratique des disparitions forcées. Considérée comme crime contre l’Humanité par l’OEA et l’ONU, cette pratique est le fait que des agents de l’Etat violent les droits fondamentaux de tout être humain, tels que le droit à la vie, la liberté, la dignité et la sécurité. Où est José ? Où sont les milliers de disparus ? Aujourd’hui, plus que jamais, le monde se doit de se poser ces questions…
José Henante, 16, young Mapuche, disappeared after being arrested by the police in Mirasol de Puerto Montt, Chile , on September 3d, 2005. Since, as in much of other cases, nobody knows what happened to him. In 1983 the Latin-American Federation of Associations of Families of Prisoner-Disappeared, which was selected August 30 as International Day of Prisoner-Disappeared in order to honour the exta-judicial victims of detention and forced disappearances knew in Latin America under various dictatorial states, consequence of the Operation Condor, and in order to alarm on new cases in Latin America as well as in the world. This days, August 30, represents a contribution reinforcing the conscience of the world on the persistence of he practice of forced disappearance. Declared as crime against Humanity by the OAS and UNO, this practice consist in the fact that government officials violate the basic rights of any human being, such as the right of life, freedom, dignity and safety. Where is José? Where are the thousands of missing people? Today, more than ever, we all have to ask about them..
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