13 septembre 2010

La Rafle – Roselyne Bosch

Paris, 1942 – Joseph, onze ans, va depuis peu à l’école avec une étoile jaune cousue sur sa poitrine. Entre les railleries des uns et les encouragements des autres, Jo, ses copains et leurs familles apprennent la vie dans un Paris occupé. Sur la Butte Montmartre la vie paraît poursuivre son cours, jusqu’à ce matin du 16 juillet 1942 où leur fragile bonheur bascule. Du Vélodrome d’Hiver, où 13.000 raflés sont entassés, au camp de Beaune-La-Rolande, de Vichy à la terrasse du Berghof, La Rafle suit les destins réels des victimes et des bourreaux. Le film témoigne des destins de ceux qui ont orchestré, de ceux qui ont eu confiance, de ceux qui ont fui, de ceux qui se sont opposés. A l’opposé de la formule consacrée, tous les personnages ont existé. Tous les évènements, même les plus extrêmes, ont eu lieu en cet été 1942. Pour ma part j’ai vu ce film déjà deux fois et l’horreur, la rage, et l’incompréhension sont toujours aussi présents. A voir pour savoir. A voir pour ne pas oublier. A voir pour s’opposer à tout acte similaire à ces faits, ce n’importe où dans le temps et l’espace…


Par
ís, 1942 – José, once años, va recientemente a la escuela con una estrella amarilla cosida en su pecho. Entre las burlas de unos y los estímulos de los otros, Jo, sus amigos y sus famiias, aprendan a vivir en París ocupada. En Montmartre la vida parece seguir su curso, hasta esta madrugada del 16 de julio de 1942 en cual su frágil felicidad oscila. Del Velódromo de Invierno, en cual se apilan 13.000refugiados, al campo de Beaune-La-Rolande, de Vichy a la terraza de Berghof, la Rafle sigue los destinos reales de las víctimzas y de los verdugos. La película cuenta los destinos de los que orquestraron, de los que tuvieron confianza, de los que huyeron, de los que se ipursieron. Al contrario de la fórmula consagrada, todos los personajes existieron. Todos los acontecimientos, incluso los más extremos, han ocurrido en este verano de 1942. Por mi parte ya vi esta película dos veces y el horror, la rabia, y la incomprehensión siguen presentes. A ver para saber. A ver para no olvidar. A ver para oponerse a cualquier acto similar a estos hechos, este dondequiera en el tiempo y en el espacio…


Paris, 1942 – Joseph, eleven years old, recently goes to school with a yellow star bent on his chest. Between mocking remarks of some people and encouragements of the others, Jo, his friends and their families learn the life in occupied Paris. On Montmartre life appears to continue its course until this morning of July 16, 1942 when the fragile happiness is broken. From the Velodrome d’Hiver, where 13.000 raids are piled up, to the camp of Beaune-La-Rolande, from Vichy to the Berghof terrace, La Rafle follows the real destinies of the victims and the torturers. The film testifies the destinies of those who orchestrated, of those who trusted, of those who fled, of those who were opposed. Contrary to the devoted formula, all the characters existed. All the vents, even the most extremes, happened In this summer 1942. For my part I saw this film twice and the horror, the rage and the incomprehension are still present. To see to know what really happened. To see to not forgot. To see to be opposed to any similar act to these facts, this anywhere in time and space…










Aucun commentaire:

 
Real Time Web Analytics