Después
de un tiempo apartado tras la persecución de Augusto Ledesma, el
inspector vallisoletano Ramiro Sancho vuelve al cuerpo Nacional de
Policía con la esperanza de retomar las riendas de su vida anterior.
Sin embargo, el mismo día de su reincorporación se encuentra con el
caso de la desaparición de una adolescente en el marco de las ferias
patronales de la ciudad. Se trata de la hija de un importante
impresario y las primeras pesquisas apuntan a que podría tratarse de
un secuestro... César Pérez Gellida terminó de momento su
experimento con el género de la ciencia ficción para volver al
genero que le vio nacer, la novela negra. Y nos regala el debut de
una nueva trilogía en cual volvemos a encontrar a Ramiro Sancho que
es como un viejo amigo que hace mucho que no hemos visto, y eso nos
llena de alegría. Como siempre, César realiza en lo que se present
como su novela más negra, una
autopsia detallada de la psicología de sus caracteres y la de la
secuestrada es algo imprescindible. No basta decir que César Pérez
Gellida es bueno, cada uno lo puede ver y es más que eso. Es el
padre de un nuevo género, singular, que se define como narrativa
audiovisual. Y a la hora de acabar con Sarna con gusto, lo único que
me preocupa es ¿por cuando el nuevo Pérez Gellida?...
Après
une parenthèse après la persécution d'Augusto Ledesma,
l'inspecteur de Valladolid Ramiro Sancho est de retour dans la Police
Nationale avec l'espoir de reprendre le contrôle de son ancienne
vie. Cependant, le jour de sa réincorporation il doit faire face à
la disparition d'une adolescente lors des fêtes patronales de la
ville. Il s'agit de la fille d'un important homme d'affaires et
l'enquête préliminaire démontre qu'il pourrait s'agir d'un
enlèvement... César Pérez Gellida a terminé pour le moment son
expérience dans le domaine de la science fiction pour revenir au
genre qui l'a fait naître, le roman policier. Et il nous régale
avec le commencement d'une trilogie dans laquelle nous retrouvons
Ramiro Sancho qui est comme un vieil ami que nous avons plaisir à
retrouver après une longue période sans le voir. Comme à son
habitude, César fait dans ce qui est présenté comme son roman le
plus noir, une autopsie détaillée de la psychologie de ses
personnages et celle de la séquestrée est à ne pas rater. Il ne
suffit pas de dire que César Pérez Gellida est bon, chacun peut
s'en rendre compte et c'est plus que ça. Il est le père d'un genre
nouveau, singulier, qui se définit comme narratif audiovisuel. Et à
l'heure où je termine Sarna con gusto, la seule chose qui me
préoccupe est de savoir quand sortira le nouveau Pérez Gellida?...
Personne
ne sera surpris si je déclare que j'écoute peu d'artistes français.
Et pourtant Habana, 13ème album du plus argentin des chanteurs
français fait mon bonheur. Il faut dire que Florent Pagny est allé
cherché Raúl Paz, musicien cubain émérite pour faire un album aux
couleurs cubaines. L'idée de cet album lui vient de l'observation
des récents changements historiques intervenus sur l'île de Cuba
et, mis à part deux titres en français qui n'ont pas ma préférence,
Raúl lui a composé et écrit des petits bijoux de chansons. A la
réalisation de l'album nous retrouvons le colombien Julio Reyes
Copello, dont le nom est associé aux plus grandes stars latinos. De
toutes ces associations naît Habana aux sonorités divines qui vont
vous faire danser tout l'été...
