Consummatum est – César Pérez Gellida
Ya
viene la última parte de Versos, canciones y trocitos de carne, la
trilogía de César Pérez Gellida. En esa vamos con unos de los
protagonistas que ya conocemos, a los cuales se añaden Ólafur
Olafson y Robert J. Michelson. El primero es el comisario que se
enfrenta al caso de los asesinatos de toda una familia en la pequeña
localidad islandesa de Grindavik. El segundo interviene en nombre de
la INTERPOL para acabar con el macabro camino de un asesino en serie
y, por eso, va a crear un grupo especial integrados por algunos de
los «viejos conocidos» del asesino. Ya os he dicho cuanto me
gustaba, en sus precedentes novelas, el estilo del autor. Es evidente
que es un gran autor de novela negra y no solo porque nos ayuda en
integrar la mente de un asesino en serie ; o porque nos
permite asistir a un enfrentamiento psicológico entre el asesino y
un inspector de pura maravilla. Pero también porque nos enfrenta al
trabajo de la policía que intenta descubrir a un asesino pero
también a encontrar las pruebas que van a permitir al fiscal a
probarlo. César Pérez Gellida nos recuerda muchas veces en su
trabajo que «normalmente lo que parece es simplemente eso : lo
que parece que es». Entonces, lo diré de una vez : esta trilogía
es lo que parece : una maravilla del genero... Ah y no quiero
terminar sin agradecer especialmente a César Pérez Gellida por la
banda sonora que acompañó mis vacaciones, en especial por haber
descubierto otra vez al gran Enrique Bunbury...
Voici
enfin la dernière partie de Versos, canciones y trocitos de carne,
la trilogie de César Pérez Gellida. Nous y retrouvons certains des
personnages que nous connaissons déjà, auxquels s'ajoutent Ólafur
Olafson et Robert J. Michelson. Le premier est le commissaire chargé
des assassinats de toute une famille dans la petite ville islandaise
de Grindavik. Le second intervient au nom d'INTERPOL afin d'arrêter
le macabre chemin d'un assassin en série et, pour cela, va créer un
groupe spécial composé par quelques «vieilles connaissances» de
l'assassin. Je vous ai déjà dit combien j'avais apprécié le
style de l'auteur dans ces précédents romans. Il est évident qu'il
est un très grand auteur de roman noir et pas seulement pour sa
façon de nous faire entrer dans la tête de l'assassin ; pas
seulement non plus parce qu'il nous a écrit une magistrale
confrontation psychologique entre un assassin en série et un
inspecteur de police. C'est également parce qu'il nous met face au
travail de la police qui tente de découvrir un assassin mais
également de trouver les preuves qui vont permettre à la justice de
le condamner. César Pérez Gellida nous répète tout au long de
cette trilogie que «normalement ce qui semble est tout simplement
cela : ce qu'il semble que ça soit». Je vous le dis donc ici :
cette trilogie est ce qu'elle paraît : une merveille du
genre... Ah et je ne veux pas terminer sans remercier spécialement
César Pérez Gellida pour la bande son qui a accompagné mes
vacances, en particulier pour m'avoir permis de redécouvrir
l'immense Enrique Bunbury...
This is
the last part of Versos, canciones y trocitos de carne, the trilogy
firmed by César Pérez Gellida. We find there some of the characters
we already know, as well as Ólafur Olason and Robert J. Mochelson.
The first is the police chief in charge of the investigation for the
murders of a family in the small Icelandic town of Grindavik. The
second acts for the INTERPOL to stop the macabre path of a serial
killer and, for that, he has to create a special group integrated by
some «old acquaintances» of the serial killer. I already told you
how much I enjoyed the style of this author in the precious novels.
It is obvious he is a great author of thriller, and not just to make
us enter in the head of the assassin ; not more to have wrote a
masterful psychological confrontation between a serial killer and a
police inspector. It is also because he confronts us to the real work
of the police whose try to find a killer, but also evidences that
will allow justice to condemn him. César Pérez Gellida tell us
during the trilogy that «what normally appears is simply this :
it seems what it is». So I will say it just one time : this
trilogy is what it seems : a perfect trilogy... oh and I don't
want to finish without thanking especially César Pérez Gellida for
the soundtrack that accompanied my holidays, especially to make me
discover again the great Enrique Bunbury...
Versos,
canciones y trocitos de carne I : Memento mori
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