11 juin 2007

Calderón y la Iglesia… Calderón et l’Eglise… Calderón and the Church…


México – La Arquidiócesis de México lo aseguró : el diálogo entre el presidente Felipe Calderón y el papa Benedicto XVI sirvió como espacio de construcción para el progreso, el bien común y para fortalecer la autoridad moral de ambos. En breve, lejos de afectar la soberanía nacional o disminuar autoridades respectivas, el Arzobispado sostiene que ese encuentro ha dado una lección muy positiva al entorno político de México. ¿Eso significaría que a la clase política mexicana le necesitaría lecciones de moral? Bueno, podemos contestar que eso se puede aplicar no sólo a la mejicana. Pero lo « interesante » allí es darse cuenta que él que da lecciones de morale es la Iglesia. La Iglesia que es al origen de la extarminación de las civilizaciones sur americanas hace unos quinientos años – pero no volvemos más sobre el tema. La Iglesia que se felicita de que este encuentro es un ejemplo de diálogo y respeto para llevar a un mejor futuro. ¿Habla de respeto y diálogo la Iglesia ? ¿Le importa diálogo y respeto cuando se trata de homosexualidad, de aborto, o bien de SIDA ? Y de añadir el Arzobispado que la separación de la Iglesia y del Estado no significa que ambos deben confrontarse o negar la realidad religiosa de la sociedad. Pués, claro, pero respetar a las convicciones de la sociedad no significa tampoco que la Iglesia tiene algo que decir primero, en cuanto a un gobierno, y segundo en cuanto a su política. En breve, la separación del estado y de la Iglesia significa bien lo que significa : no tiene nada que decir o influir la Iglesia en la política mejicana. Y que le gusta o no a la Iglesia, así son las cosas. A ver si Calderón no se lo olvida tampoco…


Mexique – C’est l’Archidiocèse qui l’assure : le dialogue entre le président Felipe Calderón et le pape Benoît XVI a servi d’espace de construction pour le progrès, le bien commun et pour renforcer l’autorité morale de ces derniers. En résumé, loin d’affecter la souveraineté nationale ou diminuer les autorités respectives, l’Archevêché soutient que cette rencontre a donné une leçon très positive à l’environnement politique mexicain. Cela signifierait-il que la classe politique mexicaine a besoin de leçons de morale ? D’aucun me diront que cela est applicable aux politiques de tous pays. Mais ce qui est « intéressant » ici est de constater que le donneur de leçons de moral est l’Eglise. L’Eglise qui est à l’origine de l’extermination des civilisations sud américaines il y a quelques 500 ans – mais ne revenons pas sur ce sujet. L’Eglise qui se félicite du fait que cette rencontre est un exemple de dialogue et de respect afin de construire un meilleur futur. L’Eglise parle de respect et de dialogue ? Ces deux notions lui importent-elles lorsqu’il s’agit d’homosexualité, d’avortement ou de SIDA ? Et l’Archevêché de rajouter que séparation de l’église et de l’Etat n’est pas synonyme que ces derniers doivent se confronter ou nier la réalité religieuse de la société. C’est une évidence, mais respecter les convictions de la société ne signifie pas non plus que l’Eglise a son mot à dire quant à un gouvernement ou sa politique. Bref, la séparation de l’Etat et de l’Eglise signifie bien ce qu’elle signifie : l’Eglise n’a rien à dire ni à influencer la politique mexicaine. Que cela lui plaise ou non, les choses sont ainsi. A voir si Calderón ne l’oublie pas non plus…


Mexico – The Archdiocese ensures it : the dialogue between president Felipe Calderón and pope Benedict XVI was used as space of construction for progress, common good and to reinforce the moral authority of the latter. In short, far from affecting national sovereignty or decreasing the respective authorities, the Archbishop’s palace supports that this meeting gave a very positive lesson to the Mexican political environment. Would that mean that the Mexican political community needs lessons of moral? Some of you will say to me that this is applicable to all the politicians. But the “interesting” here is to note that the one who are giving lessons of moral is the Church. Which is at the origin of the extermination of American southern civilizations a few 500 years ago – but don’t talk anymore of this subject. Church which is happy that this meeting is an example of dialogue and respect in order to build a better future. Does the Church speak about respect and dialogue? Do these two concepts import it when it acts of homosexuality, abortion or AIDS? And the Archbishop’s palace to add that separation of Church and State is not synonymous of confrontation between those latter, or of a deny of the religious reality of the society. Of course, but respect the convictions of the society does not mean either that Church has anything to say as for a government or its policy. Finally, separation of State and Church means what it means : Church does not have anything to say nor to influence the Mexican policy. Ok or not, things are what they are. To see now if Calderón not forget this fact…




Sources : El Financiero en línea





2 commentaires:

Anonyme a dit…

juste un peu de pub pour récupérer le soutien de quelques vieilles familles catholiques! pour redorer un blason en effaçant les péchés!

Clandestina a dit…

Mae ---> oui c'est très certainement l'idée directrice!!!

 
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