Os novos reis do etanol… New kings of ethanol… Los nuevos reyes del etanol… Les nouveaux rois de l’éthanol…
Todos sabem que o Brasil é um dos primeiros países utilizar oetanol
Everyone knows it,
Todo el mundo lo sabe, Brasil es uno de los primeros países a utilizar el etanol como combustible vegetal puesto que representa 60% de su consumo de combustible. Se conoce en adelante que las reservas mundiales de petróleo se reducen muy rápidamente aunque todos los estudios demuestran que estamos tranquilos para aún una cuarentant de años. Es porque tenemos conciencia de que las reservas naturales no son infinitas que las grandes potencias – las otras también – se preocupan y luchan al fin de tener todas las reservas restantes. Como presidente de una de las mayores naciones del mundo, Geroges W. Bush está obviamente en primera línea en esta guerra de los combustibles. No voy a volver de nuevo aquí sobre las razones verdaderas de la guerra en Irak. Tampoco hablaré de Hugo Chávez, enemigo de Bush, que le rechaza su mercado de petróleo. Todo esto explica seguramente la segunda entrevista en tres semanas del Presidente de los EE.UU. con Luiz Inacio Lula Da Silva, presidente de Brasil. La primera se había celebrada en Brasil en donde los dos hombres habían firmado un memorándum de acuerdo sobre la promoción internacional del comercio del etanol. El pasado sábado, Bush hacía los honores de la residencia presidencial de Camp David a Lula (es la primera vez que se recibe a un dirigente latino americano ahí) donde se ha hablado de etanol y varios programas pilotos en los países de Centroamérica y el Caribe. Iniciativa que no gusta a todo el mundo, puesto que Fidel Castro, 48 horas ante de este encuentro, firmaba una advertencia sobre la utilización de etanol tanto a nivel medioambiental como sobre la producción de combustibles verdes a partir de culturas en principio alimentarias. A pesar de este acuerdo, Lula afirmó d enuevo que los Estados Unidos debían abandonar el proteccionismo que impone en cuanto a derechos de aduana sobre el etanol brasileño. Era necesario dudarse que una vez más los EE. UU. querrían garantizarse el total control en cuanto a combustible, biocarburante para ser precisa. A ver quien, después del mercado de petróleo, ganará el mercado del etanol…
Tout le monde le sait, le Brésil est l’un des premiers pays à utiliser l’éthanol en tant que carburant végétal puisqu’il y représente 60% de la consommation de carburant. Il est désormais connu que les réserves mondiales de pétrole s’amenuisent très rapidement même si toutes les études démontrent que nous sommes tranquilles pour une quarantaine d’années encore. C’est parce que nous avons conscience que les réserves naturelles ne sont pas infinies que les grandes puissances – les autres aussi d’ailleurs – s’inquiètent et se livrent bataille afin d’avoir la main mise sur les réserves restantes. En tant que président d’une des plus grandes nations du monde, Georges W. Bush est bien évidemment en première ligne dans cette guerre des carburants. Non je ne reviendrais pas ici sur les raisons véritables de la guerre en Irak. Encore moins sur Hugo Chávez, ennemi juré de Bush, qui lui met des bâtons dans les roues et lui refuse son marché pétrolifère. Tout ceci explique sans doute pourtant la seconde entrevue en trois semaines entre le président des USA et Luiz Inacio Lula da Silva, président du Brésil. La première s’était tenu au Brésil où les deux hommes avaient signé un mémorandum d’accord sur la promotion internationale du commerce de l’éthanol. Samedi dernier Bush faisait donc les honneurs de la résidence présidentielle de Camp David à Lula (c’est la première fois qu’un dirigeant latino-américain y est reçu) où il a été longuement question d’éthanol et de plusieurs programmes pilotes parmi les pays d’Amérique centrale et des Caraïbes. Initiative qui n’est pas du goût de tout le monde, puisque Fidel Castro, 48 heures avant cette rencontre, signait une mise en garde sur l’utilisation d’éthanol tant sur un plan environnemental que sur la production de carburants verts à partir de cultures en principe alimentaires. Malgré cette entente, Lula a de nouveau affirmé que les Etats-Unis devaient abandonner le protectionnisme qu’il impose en matière de droits de douane sur l’éthanol brésilien. Il fallait s’en douter, une fois de plus les USA voudraient s’assurer le total contrôle en matière de carburant, de biocarburant pour être précis. A voir qui, après le marché pétrolifère, gagnera le marché de l’éthanol…
Sources : Dinheiro Digital
8 commentaires:
Paso a dejarle un saludo grande y decirle que la sigo leyendo espero tener tiempo para comentarla tambien
cariños
Dolores ---> un beso desde Francia ;)
les guerres économiques se déplacent mais les problèmes restent les mêmes, espérons tout de même que la planète en tire le bénéfice!
Mae ---> nous pouvons toujours espérer! j'ai de gros doutes sur la question.......
Bush serait bien trop malheureux de perdre la main mise sur les carburants...y en a qui ont raison quelque part de refuser ça même s'ils ne sont pas parfaits de leur côté, ça me fait plaisir quand même !!
Cig ---> un petit peu de résistance face à ce trop plein de pouvoir fait effectivement plaisir!
Las políticas por las geoenergías no son nuevas. En el caso de Bush son tan agresivas que esta intentona con Loula resulta cínica. El continente americano empieza a sentir que el norte necesita al sur, afortunadamente la información hoy se articula a nivel internacional y se observa atentamente desde el individuo.Estemos atentos, participemos con nuestras palabras desde los medios que tenemos, como haces, Clandestina. Tengamos esperanzas y seamos activos.
Un saludo, un beso
Pilar ---> pués si, el Norte se esta dando cuenta que necesita al sur. Y no me imagino la reaccion negatvia que debe tener en relacion con esta necesidad!
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