Chacun connaît l’utilisation des radars fixes, éparpillés à travers la France et qui sont censés rappeler à l’ordre le conducteur contrevenant à la loi tout en assurant à l’état des rentrées d’argent. Tout nouvellement nommé ministre, Alain Juppé s’attaque à cet épineux dossier (on ne rit pas !) et soulève l’idée de ne plus mentionner leur présence par des panneaux. Tollé général de la part de la population qui s’indigne devant une telle possibilité considérant que c’était les prendre en traitre que de ne pas les prévenir d’un tel « piège ». Alors tout en précisant clairement que je suis loin d’être un exemple sur la route, il me semble que l’essentiel est oublié. Ne tombe-t-il pas sous le sens que, avec ou sans radar, fixe ou non, les conducteurs ne sont-ils pas censés respecter les limitations de vitesse ? Car si tel est le cas, annoncés ou pas, ces radars ne doivent leur faire craindre un quelconque procès ou retrait de permis. Me feront toujours rire les gens quand même…
Cada uno conoce la utilización de los radares fijos, dispersados a través de Francia y que son supuestos recordar al orden el conductor que contraviene a la ley garantizando al mismo tiempo al estado ingresos de dinero. Recientemente nombrado Ministro, Alain Juppé combate este espinoso expediente (¡no hay que reir !) y levanta la idea de no mencionar ya su presencia con unos paneles informativos. Clamor de indignación general por parte de la población que se indigna ante tal posibilidad que considera que es como traicionarlos de no prevenirlos de tal « trampa ». Entonces, precisando al mismo tiempo claramente que estoy lejos de ser una conductora modela , me parece que se olvida la parte fundamental. ¿No es evidente que, con o sin radar, fijo o no, los conductores son supuestos respetar as limitaciones de velocidad ? Ya que si tal es el caso, anunciados o no, estos radares no deben hacerles temer cualquier pleito o retirada de permiso. La gente y su lógica siempre me harán reir…
Each one knows the use of fixed radars, scattered through France and which are supposed to recall to the order the drivers contravening the law while ensuring the state money entries. Recently appointed minister, Alain Juppé attacks this important file (don’t laugh please!) and raises the idea to not mention their presence with panels. General outcry of the population who is choked in front of such a possibility, considering that is horrible to not prevent them of such “trap”. Then, while specifying clearly that I am far from being an example on the road, it seems to me that the essential is forgotten. Doesn’t it fall under the evidence that, with or without radar, fixes or not, drivers are supposed respect the speed limits? Because if such is the case, announced or not, these radars should not make them fear an unspecified lawsuit or withdrawal of licence. People will always make me laugh…
Sources : TF1 LCI
6 commentaires:
Oui, cette levée de boucliers est drôle.... Ca m'a toujours semblé bizarre de voir la signalisation des radars. Pourtant cette signalisation incite à ralentir. La question est donc: faut il sanctionner un délit ou empêcher qu'il se produise? La réponse est sans doute un mélange un peu de tout.
Está claro que los radares tienen como unica finalidad recaudar dinero. Si quisieran que la gente no pasara del limite de velociodad, instalarían limitadores de velocidad como en los camiones. Pero claro! si hacen eso, no pueden vender coches potentes, nadie compraría un porsche, ferrari, bmw, mercedes, etc que no corra mas que 120 kilometros hora (130 en Francia). Por otra parte stá mas que claro y demostrado que no les importan las personas accidentadas heridas o muertas mas que como gasto medico.
En España, ahora se ha realizado un estudio donde demuestra que los radares NO están colocados en los "puntos negros" donde hay mas accidentes sino en lugares para recaudar dinero. Por no hablar de que muchos de esos "puntos negros" son carreteras secundarias en donde los trazados y pabimentos están muy defectuosos...
Saludos clandestina y a tod@s l@s presentes!
Le choix offert entre le lobby de la voiture et les ligues de vertu intégristes me semble une dérive à l'américaine assez puante, en fait.
Les arguments qui s'opposent n'ont rien à voir avec des arguments rationnels comme les voudrait une bonne gestion (gouvernance) de la société, mais sont basés sur la flatterie électoraliste des émotions: spectre de la peur du chômage pour les uns, contre sanctification de la victime de l'autre.
Encore une fois, à cause de motifs politiques, on nous propose le choix entre peste et choléra.
Quand on n'a pas de profondeur dans sa vision politique à long terme, on peut appliquer l'approche de victimisation à pratiquement tous les problèmes de la société, et on est sûr d'être toujours en phase avec son électorat.
En adoptant systématiquement le côté de la victime (ou de ceux qui se revendiquent comme tels), on est certain d'être inattaquable sur le plan moral (même si on est parfaitement mauvais dans sa gestion par ailleurs).
C'est grâce à cette approche que Bush a réussi à museler complètement son opposition au moment de la décision de la guerre en Irak: Aller contre la guerre, c'était aller contre les victimes du 11 septembre. Aucun politique et aucun journaliste ne pouvait se le permettre.
Sur le plan de la réglementation, je suis d'accord avec le principe selon lequel si la loi existe, elle devrait être appliquée complètement.
Le problème, c'est que le seul et unique point où ce principe est appliqué dans tout le système judiciaire français, c'est celui de la limitation de vitesse !
Quant à l'amnistie, dont on annonce spectaculairement qu'elle ne sera pas mise en oeuvre pour les infractions au stationnement, les politiques n'ont pas manqué de se l'appliquer quand elle concernait des affaires de délinquance financière, de corruption ou de trafic d'influences.
Chez nous la plupart des radars ne sont pas fixes et donc pas signalés, c'est eux qui appauvrissent les gens. Les radars fixes signalés par des panneaux sont généralement des boîtes vides. Il n'y a pas d'appareil dedans (ou rarement) du coup on ralentit pour rien car ils ne flashent pas.
Tout ça est mal fichu et très énervant et très discriminant. Les riches se permettent un budget radar et paient grassement (ou bien jouent des avocats pour ne pas payer).
Je ne supporte pas me faire flasher dans des lieux où il n'y a jamais eu d'accidents.
enfin bon, je réponds n'importe comment mais c'est bien la preuve qu'il faut réfléchir à une vraie politique cohérente et pas hypocrite comme actuellement.
Philippe ---> bonne question en effet que celle que tu poses. Et la réponse se trouve dans un habile mélange des deux, ajouté à une éducation routière sensiblement meilleure.
Xavi ---> queda claro que la influencia economica de las autos "ayudan" los gobiernos en no luchar realmente en contra los peligros de la circulacion. Una hipocresia mas de los gobernantes...
Quinte ---> comme le dit Xavi, ce en quoi je suis totalement d'accord avec lui, le lobby de la voiture "empêche" (mais parce qu'il le veut bien, le gouvernement de lutter réellement contre les dangers de la circulation routière. Et ladite lutte s'applique uniquement dans le but... de ramasser du fric.
Concernant l'amnistie, je ne vois pas pourquoi on l'appliquerait à quiconque contrevient à la loi. Mais, là encore comme tu le dis, reste à l'appliquer à toute la population. Et ça n'est pas gagné!
Petit Ours ---> je constate donc que la politique hypocrite en matière de sécurité routière est au même niveau dans toute l'Europe (France, Belgique, Espagne...).
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