Dies irae – César Pérez Gellida

Augusto
Ledesma est un homme discret, cultivé, d'aspect athlétique, très
intelligent, passionné de poésie et de musique. Graphiste de
profession il pourrait être l'homme parfait si une femme avait
l'idée de tomber amoureuse d'un assassin en série. Car oui, Augusto
est l'assassin en série que nous avons découvert dans Memento mori,
le premier roman de César Pérez Gellida que je vous ai présenté
ici. Dans cette seconde partie de la trilogie Versos,
canciones y trocitos de carne, Augusto poursuit son chemin d'assassin
dans la ville italienne de Trieste. Sous une nouvelle identité il va
croiser à nouveau les personnages qui ont tenté de l'empêcher de
commettre des crimes et veulent, pour certains, l'arrêter une bonne
fois. Dies irae nous permet de mieux comprendre les relations entre
les différents personnages et, donc, de mieux comprendre leurs
actions. César Pérez Gellida continue ici son étude sur les
assassins en série introduisant dans cette étude ce qui peut être
considérer comme des meurtres en série, à savoir les crimes de
guerre. Son rythme de narration du roman policier va toujours en
parallèle à des références musicales et, si dans le précédent
roman, Enrique Bunbury était très présent, la bande sonore de
celui-ci est composée de Vetusta Morla, REM, Placebo, Love of
Lesbian entre autres. Comme la première partie, Dies irae capte
l'attention du lecteur et il est totalement impossible de s'arrêter
avant la surprenante fin...
Augusto
Ledesma is a man discreet, cultivated, with athletic aspect, very
intelligent, passionate by poetry nd music. Graphic designer he could
be the merfect man if a woman had the idea to fall in love with a
serial killer. Because Augusto is the serial killer we discovered in
Memento mori, the first novel written by César Pérez Gellida, I
presented here. In this second part of the trilogy Versos,
canciones y trocitos de carne, Augusto continues its assassin path in
the Italian city of Trieste. Under a new identity he will cross again
the characters who already tried to prevent him to commit crimes and,
for some of them, want to definitively stop him. Dies irae allows us
to better understand the relationships between the different
characters and, thus, to better understand their actions. César
Pérez Gellida continues here his study of serial killers adding to
it the study of what we can considere serial crimes, namely war
crimes. Its rythm of narration of a thriller is always in parallel
with musical references and if in the previous novel Enrique Bunbury
was very present, the soundtrack of this one is composed of Vetusta
Morla, REM, lacebo, Love of Lesbian and much more. As the first part,
Dies irae captures the reader's attention and it is totally
impossible to stop before the surprising end...
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