Colombia - Dos días enseguidos explotaron dos bombas en Neiva, capital de departamento del Huila, a unos 300 kilómetros al suroeste de Bogotá. No hay dudas, no es una casualidad puesto que el blanco de estas bombas está Cielo González. Bonita joven colombiana, líder política y, más importante, actual alcadesa de la ciudad, González está en la mira de la guerrilla de las FARC (Fuerzas Armadas Revolucionarias de Colombia) desde hace algunos años. Principal fuerza rebelde paramilitar de Colombia establecida en 1964 como rama armada del Partido comunista colombiano, de obedencia marxista-leninista, autofinanciada por los raptos y los rescates, el extorsión y la « protección » concedida al comercio de la droga, ya no se cuentan los asesinos, raptos y atentados que se pueden imputar a las FARC. Un reciente informe añade la amenaza – y no cualquiera - a cuenta de las FARC. Parece en efecto que un total de 177 alcaldes de 1.099 están amenazados, y que el grupo paramilitar tiene influencia en el 75 por ciento del país, situación que pone en riesgo a los alcaldes de 24 de los 32 departamentos. Se revela también que unos 220 municipios están en riesgo de sabotajes o intimidaciones para la celebración de las elecciones de octubre próximo cuando se eligirá gobernadores y alcaldes. Estas cifras parecen increíbles, sobre todo cuando se sabe que Colombia es una República unitaria, un Estado social de derecho. La alerta dada a los organismos del estado está muy clara : ¡no bajen la guardia ! Pero ¿ya no se ha bajado la guardia ? ¿Comó los gobiernos succesivos han podido llevar el país hasta esa situación ? Sobre todo, que pensar, cuando nuestra alcadesa dijo que no abandonará su ciudad, de las palabras del presidente Alvaro Uribe que la califica de « heroína ». Por mi parte, solo me pregunto si ella es la heroína – pues de cierto modo claro que lo es – o si no es él que ha dejado el papel que debría tener como presidente en frente a tales terroristas…
Colombie – Deux jours de suite des bombes ont explosé à Neiva, capital départemental de Huila, à quelques 300 km au sud-ouest de Bogota. Aucun doute possible, ce n’est pas un hasard puisque la cible de ces bombes est Cielo González. Jolie jeune colombienne, leader politique et surtout, actuelle maire de la ville, González est dans la ligne de mire de la guérilla des FARC (Forces Armées Révolutionnaires de Colombie) depuis quelques années. Principale force rebelle communiste colombienne, d’obédience marxiste-léniniste, autofinancée par les enlèvements et les rançons, l’extorsion et la « protection » concédée au commerce de la drogue, on ne compte plus les assassinats, enlèvements et attentats pouvant être imputés aux FARC. Un rapport récent ajoute la menace – et pas n’importe laquelle – au compte des FARC. Il apparaît en effet qu’un total de 177 maires sur 1099 sont menacés et que le groupe paramilitaire a sous son influence 75% du pays, situation qui met en danger les maires de 24 des 32 départements. Il est aussi révélé que 220 municipalités courent le risque de sabotages ou d’intimidations lors des élections des gouverneurs et municipales d’octobre prochain. Ces chiffres sont tout simplement incroyables, surtout dans une république, un état de droit tel qu’est la Colombie. L’alerte donnée aux organismes d’état est très claire : ne baissez pas la garde ! Mais cela n’est-il pas déjà fait ? Comment les gouvernements successifs ont-ils pu amener le pays à une telle situation ? Surtout, que penser, alors que notre maire de Neiva déclare qu’elle n’abandonnera pas sa ville, des mots du président Alvaro Uribe qui la qualifie d’ « héroïne ». De mon point de vue je m’interroge seulement à savoir si elle est bien l’héroïne –dans un certain sens forcément – ou si ce n’est pas lui qui a abandonné le rôle qu’il devrait avoir en tant que président face à de tels terroristes…
Colombia – In two days two bombs exploded in Neiva, departmental capital of Huila, to some 300 kilometres at the south-west of Bogota. Any doubt is possible, it happened because the target is Cielo González. Pretty Colombian girl, political leader and especially, current mayor of the city, González is the target of the FARC (Revolutionary Armed Forces of Colombia) for a few years. Principal Colombian rebel communist force, of obedience Marxist-Leninist, financed by kidnappings and ransoms, extortion and “protection” conceded to the trade of drug, one does not count anymore the assassinations, kidnappings and attacks in charge of the FARC. A recent report adds threat – and not any threat – to the account of the FAC. It appears that a total of 177 mayors out of 1.099 are threatened and that the paramilitary group has under its influence 75% of the country, situation which endangers 24 mayors of the 32 departments. It is also revealed that 220 municipalities run sabotage or intimidation risks for the governor and local elections next October. These figures are quite simply incredible, especially in a Republic, a state of right such is Colombia. The alarm given to the organization of states is very clear : be vigilant! But isn’t that already done? How the successive governments could bring the country to such a situation? What to especially think, whereas our mayor of Neiva declares she will not give up her city, of eh words of the president Alvaro Uribe who qualifies her of “heroin”. In my point of view, I wonder myself about she is really an heroin – in a certain point of view she is inevitably – or if he gave up the role that he should have as president in front of such terrorists…
Sources : Terra
Univisión
attitude courageuse c'est vrai mais est-ce qu'elle tiendra le coup longtemps??
RépondreSupprimerCig ---> surtout, restera-t-elle en vie assez longtemps!?!
RépondreSupprimerFacile en effet de laisser pourrir la situation et d'envoyer des fleurs à ceux qui ont encore le courage de l'ouvrir, en cas de réplique pas mouillé lui!
RépondreSupprimerMae ---> je trouve son attitude facile oui. On peut pas dire le contraire sur l'action!
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